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Pensées de fin de semaine

Alain Kelyor

Emerainville au cœur a eu pour ancêtre l’Union des libéraux d’Emerainville Malnoue (ULEM).
En politique, il existe des libéraux de droite et des libéraux de gauche qui ont en commun de vouloir fixer des limites à l’action de l’État.
Au niveau de notre cité, les électeurs ont eu à choisir aux dernières municipales pour :

  1. Une liste politique composée de verts, de rouges et d’un peu de roses. Cette liste éminemment respectable aurait conduit à une catastrophe en cas de victoire électorale. Mais battue, elle  peut travailler avec nous sur des actions écologistes (ferme biologique, aménagement de la coulée verte, qualité de l’air, lutte contre le bruit… Etc.).
  2. Une liste politique de droite qui n’ose pas dire son nom, (LR) et a réussi à ramasser sur sa liste des socialistes aux convictions politiques douteuses, (Favory, Mercier…) qui par la même trahissent leur propre parti.
    Des aigris qui figuraient autrefois sur nos listes et qui pensent ne pas avoir été récompensés pour leurs compétences ou leurs idées extraordinaires.
    Des traîtres qui croyaient pouvoir sur la base du mensonge prendre la place du calife.
    Des aventuriers dont certains sont violents et qui passent par là en recherche dont on ne sait quoi. Avec ces gens-là, aucun travail commun n’est possible.
  3. Notre liste libérale qui ne prend pas en compte les opinions politiques de chacun de ses membres et désire gérer la commune comme une entreprise en fonction des réalités économiques.

Pour nous, il convient de réduire les charges de structure  au maximum et de dégager les excédents qui permettent de réaliser les investissements indispensables pour la satisfaction des électeurs sans s’endetter outre mesure.

Nos recettes se divisent en  trois grandes catégories :
– les impôts locaux que nous avons diminués d’une manière considérable dans le passé ;
– les dotations de l’État qui diminuent considérablement depuis une dizaine d’années selon son bon vouloir et sa mauvaise gestion des affaires publiques ;
– les participations aux activités municipales et aux services rendus à la population.
Notre programme pour les 6 ans à venir, comme ceux qu’ils l’ont précédé, ne fait pas de promesses irréalisables. Il sera exécuté comme ses prédécesseurs à plus de 95 %.
La mauvaise  gestion d’une commune ne permet pas d’excuses, du style : c’est de la faute à l’environnement international, à la crise du dollar, à la situation dans les Balkans…
Tout ce qui a été promis doit avoir été fait ou donner lieu à explication rationnelle et compréhensible de tous.
Ainsi la ruine de l’État, qui entraînera une baisse des dotations communales et une augmentation des actions municipales  à entreprendre, pourra expliquer sans contradiction de bonne foi possible, une non-réalisation partielle du programme proposé.

Mais nous n’en sommes pas encore là.

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