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Conseil communal du lundi 14 septembre 2020.

Alain Kelyor

Deux délibérations importantes étaient consacrées  au changement de position, de lecture et  de doctrine de l’administration.
Ce qui était permis ou toléré hier n’est plus tolérable aujourd’hui et c’est la raison pour laquelle, afin de sortir de « l’illégalité » dans laquelle nous étions depuis 5 mandats. Un ou deux mots ont été supprimés dans la délibération sur les pouvoirs du maire, (délibération calquée sur celle de 2014).
Sans ces modifications indispensables dont l’importance n’échappe à personne on se demande bien comment la ville a pu être gérée.
Il en fut de même pour l’indemnité de fonction des élus qui à chaque élection était calculée à la date de leur élection et qui ne peut être calculée désormais qu’à partir de la date de leur nomination effective.
Toutes ces modifications de détail, ont dû faire la joie de Mme Stocker spécialiste des règles de forme et qui oublie malheureusement souvent le fond du problème.
Venaient ensuite les délibérations concernant l’intercommunalité qui concernaient le plan local d’urbanisme et la police municipale.
Comme prévu et à l’unanimité (à l’exception de M. Huleux) le conseil refusa de confier le plan local d’urbanisme à l’intercommunalité et refusa également de lui  confier la sécurité de la ville.
Toutes les délibérations présentées furent adoptées à l’unanimité à l’exception de celle concernant la police municipale, adoptée à la majorité. Les verts dont on connaît la position sur la sécurité en général,  sur la police municipale et la vidéo protection en particulier, votant contre.
Quant à CAP’EM, Mme Favory regretta que nous n’ayons pas repris dans le compte-rendu l’intégralité de son discours lors du Conseil du 8 juillet 2020, discours dans lequel, elle étalait ses connaissances sur la petite enfance, ce qui lui permit par la suite de déclarer « nulle » l’élue majoritaire chargée de ce domaine.
Heureusement, elle est là !!!!!!!!
M. Quinion pour sa part déclara qu’il allait  voter contre la délibération des pouvoirs du maire, car il ne la comprenait pas.
Question :
Avait-il demandé à ses élus  qui, eux, avaient peut être compris ?
Pour la petite histoire, il suffisait de comparer la délibération de 2014 à celle de 2020.
Une enfant de 4 ans l’aurait sans doute fait.
Sur demande du maire, M. Caulay, directeur général des services, expliqua cette délibération ce qui permit au groupe CAP’EM de voter à l’unanimité, mais n’empêcha pas M. Quinion de regretter que le maire n’ait pas répondu lui-même nonobstant la valeur intellectuelle du directeur général.
Monsieur le maire prit le reproche avec le sourire (il avait compris lui, la délibération du premier coup) et remercia M. Quinion du compliment sur la qualité du personnel municipal que le premier magistrat  a choisi lui-même et que CAP’EM ne cesse de dénigrer.
Enfin, pour paraphraser une affirmation courante :
« Dis moi qui tu fréquentes, je te dirais qui tu es », ou
« Dis moi ce que tu manges, je te dirais qui tu es », ou  
« Dis moi… »
Nous jugeons notre opposition en fonction de :
« Dis moi quel est ton public, je te dirais qui tu es ».
Depuis les élections et la défaite de leurs poulains, les supporteurs Capémistes critiquent les propos qu’ils entendent, gloussent et pour certaines très fort et si leurs attitudes commencent à changer, elles restent encore très désagréables.
Espérons qu’ils pourront très vite se faire une raison et adopter une attitude plus conforme à la vie démocratique d’une petite ville.

P.S. :
CAP’M a un sens aigu pour déformer  les propos tenus pendant les conseils municipaux.
Je n’ai jamais déclaré avoir missionné M. Morin pour une étude sur le développement du commerce à Emerainville. Cet ancien élu a été missionné dans le passé,  par l’Union des Industries Hôtelières à titre bénévole, pour diverses actions de développement du commerce dans les petits villages. Evidemment nous en avons parlé et je lui ai demandé des renseignements, chose que je peux faire de nouveau, le plus légalement du monde et sans encourir le courroux du clan QUINION.
Cela ne met évidemment pas en cause le travail et les responsabilités de M. BITBOL, car CAP’EM peut sans doute comprendre que le problème des commerces sur notre ville nécessite un grand nombre d’intervenants et les élus se doivent de les consulter au maximum.
Quand nous avons un grave problème d’électricité nous appelons un électricien spécialiste, ce qui ne remet pas en cause le maire adjoint responsable du service technique.
A force de critiquer tout, CAP’EM en devient ridicule.

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