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Des manœuvres politico-juridiques

Alain Kelyor

Les manœuvres politico-juridiques de Cap’em nous ont permis de :

  • Nous amuser avec notamment l’opération « Clean ta rue » qui fut une pure rigolade digne du sketch sur les agents municipaux.
  • La photo montage humoristique réalisée du couple Quinion et de Mme Favory balayant nos rues nous fait encore sourire. L’humour n’est pas la qualité principale de nos adversaires qui ont porté plainte.
  • La valeur des discours de nos politiciens. Ainsi, le président de LR déclarait-il avant les élections : « Le premier tour doit être celui de la clarté, de la fidélité à ses convictions,  ses engagements et ses alliés naturels. » Ce beau discours ne s’applique sans doute pas à la Seine-et-Marne et à Émerainville en particulier.
  • L’irresponsabilité globale de chacune des équipes, la faute étant rejetée uniquement sur la tête de Cap’em même si  certains actes, certains écrits peuvent être facilement personnalisés, d’autres devraient être de la responsabilité de la liste électorale en totalité.

Dans la bataille juridique qui a eu lieu deux plaintes principales restent à juger :

  • Une plainte pour faux et usage de faux (imitation de la signature du Maire de Pontault).
  • Une plainte pour atteinte à la personne (crachat en période de pandémie sur un membre d’Émerainville au cœur). L’attaque qui a été filmée et diffusée sur les médias sociaux n’a fait l’objet d’aucune sanction de la part de la tête de liste qui aurait dû évincer de son groupe le coupable.
  • Il n’en fut rien. Pourtant Cap’em comprend en son sein le chef de la police municipale de Lagny, haut fonctionnaire responsable qui semble se désintéresser de ces deux délits d’une très grande gravité.
  • L’irresponsabilité des hébergeurs.

Le Facebook de Cap’em est rempli d’articles diffamatoires et parfois même insultants. Ces articles, pour la plupart signés, n’engagent que la responsabilité de leur signataire (généralement des pauvres bougres) mais pas celle de l’hébergeur (le groupe Cap’em).
 Une réforme s’impose car il est impossible de laisser écrire n’importe quoi sans faire monter la violence, la haine entre Français et peut-être la guerre civile.

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