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Des procès à ne plus en finir

Alain Kelyor

Les élections municipales de 2020 ont eu lieu le  15 mars  pour le premier tour et le 28 juin  pour le second.
Cap’em très mauvais perdant a déposé une demande  en annulation de scrutin le 30 juin 2020 (les membres de ce groupe avaient préparé leur coup et constitué des pseudos dossiers en cas d’échec).
Le 02 octobre 2020 le tribunal administratif de Melun, rejetait tous les motifs  d’annulation et confirmait les résultats du scrutin.
Sur les  26 points que comportait la demande aucun n’a été retenu par le tribunal, c’est dire le sérieux de la protestation.
En personnes responsables convaincus de leur bon droit les membres du  groupe Quinion auraient dû faire appel mais sur les conseils de leur avocat ou dans un moment de sagesse ne le firent pas.
Pourtant, porter plainte fait partie de leurs gènes, ils ne peuvent s’en empêcher, ils sont nés comme cela.
Et puis ça les occupe et leur donne l’impression d’exister et ce malgré leurs défaites à répétition dont évidemment ils ne se vantent pas.
Certains membres de leur liste continuent à crier sur les toits qu’ils ont gagné, qu’ils vont récupérer la commune (sans doute par miracle et avec l’aide de Zeus et de son arc-en-ciel).
La demande d’annulation des élections fut suivie de plusieurs plaintes pénales pour utilisation des moyens matériels de la commune par la liste Émerainville au cœur.
A les écouter rien n’est terminé. Eux seuls peuvent gérer la commune et la population les a volés d’une victoire qu’ils savaient  certaine et amplement méritée.
Une enquête est donc en cours et de nombreux salariés de mairie et le maire ont été  entendus par la police judiciaire.
Nous attendons les résultats mais cette situation devient presque habituelle, compte tenu des très nombreuses dénonciations  des  membres de Cap’em qui ont, sans doute, passé leur jeunesse et fait leurs études dans l’une des anciennes républiques communistes des  années 50.
Notre mandat s’achèvera dans 5 ans, ils devront mettre de l’argent de côté pour financer toutes les plaintes qu’ils vont nous intenter, ils devront muscler leur service d’espionnage et mieux rémunérer leurs informateurs.
Naturellement leurs piqûres de moustiques, nous agacent mais ne nous font pas trop perdre de temps, et ne nous empêchent pas de gérer la commune ce qui  évidemment est  l’essentiel.

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