Dans la tribune politique du dernier Lien, M. Huleux reprend les élucubrations de ses amis les Verts.

Affirmation le blabla :
Le changement (politique) était attendu à Émerainville comme dans toute la France.
La vérité :

1. Résultat des élections Présidentielles : M. Macron a été réélu alors que la gauche n’était même pas représentée au second tour.
2. Résultats des élections législatives : les Verts possèdent  23 élus et la gauche désunie, Verts compris 151 élus, le tout sur 577 députés.
   Le centre et la droite sont  largement majoritaires.
   À Émerainville, la députée représentant notre président a été majoritaire.
   
   Affirmation le blabla :
   La Nupes fait revivre un espoir de changement.
   Ah bon, mais cela ne se traduit pas dans les urnes et puis une société communiste, merci beaucoup.

Affirmation le blabla :
Le maire se plaint d’un manque d’attractivité à l’égard du conseil municipal.
Je ne pense pas être responsable des absences des membres de mes oppositions. Je regrette  ces absences, pour les électeurs qui ont voté pour elles. Je les regrette pour la commune et je suis atterré devant le manque de parole et de courage de personnes qui se sont présentés aux suffrages sans amour pour leur ville mais en cherchant un titre à mettre sur une carte de visite pour impressionner le quidam.
Une équipe battue devrait travailler deux fois plus que l’équipe vainqueur, afin de conquérir le pouvoir municipal.
Elle aurait alors la possibilité de transmettre ses savoirs aux émerainvillois et de jouer le jeu de la démocratie.
Les oppositions successives pour justifier leur disparition affirme  que je suis un dictateur et qu’il est impossible de travailler avec moi.
Excuse facile par contre, si l’équipe majoritaire est  seule, elle est  obligée de prendre les décisions seule.

Affirmation le blabla :
Le maire est à la tête de la commune depuis 1995.
C’est la vérité pure mais il est élu démocratiquement à chaque fois, donc je ne saisis par le reproche.
Depuis 1995, les émerainvillois n’ont pas voulu remplacer le maire et son équipe (ce qui prouve qu’ils ont fait du bon boulot ou que les adversaires n’étaient ni crédible ni à la hauteur).

Le parcours politique de  M. Huleux.
En 1995, il ne s’était pas encore lancé dans la conquête de la mairie.
En 2001, il était 11^ème sur la liste socialo-communiste de M. Dauriac. Cette liste ne passa pas le premier tour et M. Huleux fut battu, une première fois.
En 2008, il figurait sur la liste de « commune idée » (les Verts) en n° 1 au premier tour, puis sur la liste « Rassemblement Émerainville » (socialos communistes)  en n°3. Il fut battu pour la seconde fois, mais nous pouvons constater ses changements d’idées politiques selon les circonstances.
En 2014, il était n°1 sur la liste « Ensemble pour Émerainville » : battu pour la troisième fois.
En 2020, il était n°1 de la liste « Ensemble pour Émerainville au premier et second tour et fut battu une quatrième fois.
Ce battu permanent s’entête alors qu’il est désormais certain que depuis des lustres ses idées politiques sont plus que minoritaires à Émerainville ((17% des voix en 2020).

Affirmation le blabla :
Je n’ai aucun allié.
Oui mais j’obtiens le nécessaire pour ma commune et je n’ai pas véritablement d’ennemis en politique (la preuve mon élection comme vice-président de l’intercommunalité).

J’ai soutenu la députée Macroniste aux dernières législatives.
Oui car elle a œuvré dans l’intérêt de la commune dans des dossiers sensibles (Clos, place Saint-Just…).
Je ne soutiens pas un parti politique, mais les personnes qui ont travaillé avec moi pour ma commune.
Après au moment du vote, il faut choisir, personne n’étant parfait (à part moi selon M. Huleux  que je remercie de cette affirmation) et je n’ai aucune honte à choisir notre président actuel opposé à l’extrême-gauche comme à l’extrême-droite.

Affirmation  le blabla :
Je critique tout même,  notre président
Oui, mais sur mon blog, et c’est ma liberté de citoyen. De plus le lit qui veut.

Compliments :
Je tenais à féliciter M. Huleux de son élection au conseil régional dans lequel il représente le département 78 même s’il n’a pas été élu sur son nom, sur ses compétences mais à la suite d’arrangements politiques (une sorte de tambouille à la sauce verte).