La campagne fut trop longue et ressembla par moment à une guerre civile entre deux parties d’un même peuple séparé uniquement par l’ambition d’un homme qui trop tôt, sans doute, voulu être calife à la place du calife.
Les blessures seront longues à cicatriser d’autant plus qu’une des parties, mauvaise perdante semble vouloir porter « le conflit » après avoir été battue sur le terrain, sur le tapis vert de la justice.
Evidemment, nous tenterons comme nous l’avons toujours fait de travailler avec nos oppositions sur des sujets qui sont pour la plupart écologiques et qui font l’unanimité (pollution de l’air, bruit, ferme biologique…).
Enfin, il nous reste encore à supporter les insanités et les insultes qui figurent journellement sur les Facebook.
Aucune réponse ne peut être faite à ces « anonymes » qui souhaitent ouvertement notre mort, qui ne connaissent rien d’Emerainville et dont le QI est proche de celui d’une mouche Tsé-Tsé.
Ils mettent en péril la démocratie représentative, contestent les élections, et pratiquent des méthodes d’un autre temps.
Qui peut leur faire comprendre qu’un maire ne s’élit pas tout seul, qu’il se présente au peuple lequel décide souverainement et qu’insulter l’élu c’est insulter le peuple qui l’a choisi. Mais sans doute est-ce trop compliqué pour ces haineux qui pour la plupart, n’ont jamais rien fait pour leur ville.