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La parole est à la justice

Alain Kelyor

Les élections municipales de 2020 ne ressemblèrent pas aux quatre dernières élections que l’ULEM  et Émerainville au cœur ont gagnées depuis 1995.
Notre ville n’avait jamais connu une campagne municipale  d’une telle bassesse et d’une telle violence, n’avait jamais connu des membres de l’opposition faisant semblant de s’intéresser au personnel pour nuire à l’équipe en place…
Les actions (personnelles ou non), la vie privée des élus majoritaires sont  espionnées, des photographies de leur boutique, de leur voiture sont prises. Ils sont pistés et leurs visiteurs identifiés et parfois sermonnés pour avoir osé les fréquenter.
En quatre mandats je n’ai jamais connu une telle ambiance, une telle haine, une telle envie de nuire à autrui, quel qu’en soit par ailleurs les conséquences pour la commune. Tout est bon : délation, mensonges, insultes, intimidations, menaces, procès.
1- La pandémie augmenta la période entre le premier et le second tour (passée d’une semaine à trois mois) permettant une lutte politique plus importante.  
2- Émerainville au cœur avait l’habitude de s’opposer à des candidats de gauche, qui ne partageaient pas ses valeurs, ni ses options pour la ville, mais qui étaient respectables et respectueux des principes de la démocratie.
3- Ce fut  la première fois que notre équipe se mesura avec des adversaires issus de ses rangs, qui avaient travaillé avec elle, pendant un ou deux mandats, et qui se présentaient, non pas pour le bonheur des Émerainvillois, mais pour satisfaire leurs ambitions personnelles et sans respect pour quiconque ne partageait  pas leurs idées.
4- Cap’em avait l’investiture LR, mais « incorpora » une partie des perdants revanchards socialistes battus aux municipales depuis 1995, et tenta, afin de prouver sans doute,  son respect pour ses propres valeurs politiques,  de s’allier au second tour avec les verts qui refusèrent.
5- Cap’em composé de membres n’ayant que peu de connaissances dans les domaines essentiels pour la gestion communale, se spécialisa dans l’espionnage et les plaintes judiciaires à répétition.
6- En conséquence nous avons dû faire face à :
a)-une demande d’annulation des élections pour 26 motifs dont aucun ne fut retenu par le tribunal administratif qui confirma les résultats des élections. Nos opposants ne firent pas appel.
Après la défaite au premier tout, la défaite  au second, la troisième défaite se situa donc sur le tapis vert.
b)- Des dépôts de plaintes pénales pour utilisation des moyens matériels de la mairie au bénéfice d’Émerainville au cœur.
Une  enquête, (le personnel de  mairie, le maire, et un fournisseur furent entendus) eut lieu et le Procureur classa l’affaire.
Quatrième défaite sans compter la plainte contre les verts qui a été également classée sans suite à notre connaissance.
Toutes les actions concernant les élections sont terminées.
La totalité des plaintes reposaient sur des « on dit », sur des médisances, sur les désirs de revanche d’une salariée retraitée et membre de LR,  manifestement manipulée, sur un service d’espionnage pas fiable, sur un désir de culpabiliser le personnel.
De plus Cap’em n’est pas sans reproche.
Trois plaintes pénales déposées, deux par un membre de notre liste et une par la mairie sont en cours.
Il s’agit de diffamation pour la première, de mise en danger d’autrui pour la deuxième et pour faux et usage de faux pour la troisième.
Si la diffamation repose sur l’interprétation des textes visés, l’attaque à la personne, filmée et vue en direct par un grand nombre d’utilisateurs des médias sociaux, ne peut pas être niée, de même que le faux et usage de faux dont les éléments constituant le délit sont réunis :
– support matériel (la lettre comportant une fausse signature) ;
– un document falsifié ;
– l’altération de la vérité.
Il est donc à craindre que Cap’em subisse encore d’autres défaites.
Nous regrettons toutes ces attaques juridiques (celles que nous faisons y compris) mais nous tenons à affirmer que toutes ces démarches, ces formalités administratives et judiciaires nous font perdre un temps très réduit et que les affaires de la commune n’en pâtissent absolument pas.

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