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La politique de la terre brûlée

Les Émerainvllois ont reçu récemment notre bilan de mi-mandat dans leur boîte aux lettres. Nous attendons avec impatience leur avis sur notre gestion passée et des idées sur celle à venir.
Nous regrettons que nos oppositions aient  fait en trois ans de mandat  aucune proposition concrète pour notre ville.
Les Verts ont refusé pour des raisons politiques et financières le travail commun proposé pour finaliser deux chantiers écologiques d’importance régionale : la coulée verte et la ferme biologique.
Il est vrai qu’un poste de conseiller régional est bien rémunéré et n’entraîne aucune obligation de résultat et aucune responsabilité.
Pour Cap’em, la stratégie de destruction de la politique municipale est composée de plusieurs d’actions :  

  1. mettre le souk dans le maximum d’associations possibles ; 
  2. noyautage de l’association de football avant et pendant les élections, avec promesse d’un terrain en synthétique (coût 1 000 000 €) ;
  3. refus des demandes de la mairie et de la fédération par la section badminton, ce qui a entraîné la dissolution du MES et la création de nouvelles associations (karaté, voitures télécommandées) et la reprise par la mairie d’une activité badminton aujourd’hui plus importante que celle de  l’ancienne section du MES.
  4. noyautage de l’ARALE,  association destinée à combattre le bruit produit par les avions. Mme Quinion a été nommée vice-présidente de cette association devenue depuis, coïncidence anti maire primaire.

Les comptes rendus, les interventions de cette association sont dans le plus style de Cap’em. Elle pense qu’avant elle il n’y avait rien,  elle s’attribue toutes les avancées alors qu’elle ne fait que retarder les progrès accomplis, elle invite les intéressés en mairie d’Émerainville où seront placésautour d’elle le sous-préfet et les maires invités.
Quelle arrogance.
Cette réunion n’eut jamais lieu et l’affaire se termina à Lognes sans la présence des principaux maires intéressés.

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