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Qui dirige notre pays ?

Alain Kelyor

Des politiques, des experts (personnes qui connaissent de plus en plus de choses sur un sujet de moins en moins grand), mandarins de la médecine  (qui ne sont pas d’accord entre eux), la haute autorité de je ne sais quoi, le suprême conseil de ce que vous voudrez….
Les décisions pour lutter contre la pandémie se suivent mais ne se ressemblent pas.
Aucune stratégie à court, moyen et long terme ne se dégage laissant le malade potentiel dans l’angoisse (angoisse entretenue sciemment par des médias en recherche d’audimat).
L’histoire de notre pays sous  l’occupation dans les années 1940 nous permet de constater un certain nombre de similitudes entre les décisions prisent à l’époque et celles prisent actuellement :

  • En 40 nous n’avions pas d’armes ou pas de munitions qui allaient avec (aujourd’hui nous n’avions pas de masques, pas de tests, pas de lits dans nos hôpitaux).
  • En 40 nous n’avions aucun système valable de transmission entre les corps d’armées (aujourd’hui nous avons totalement oublié la logistique pour la livraison de nos vaccins). 
  • En 40 nous avons subi le couvre-feu comme aujourd’hui.
  • En 40 nous avons eu droit au confinement comme aujourd’hui.
  • En 40 nous avions l’obligation d’une autorisation de sortie (ausweis donné par la kommandantur). Aujourd’hui il en est de même mais nous l’établissons nous-mêmes, (c’est d’un ridicule).
  • En 40 nous avons lutté contre l’épidémie de peste brune (aujourd’hui il s’agit du covid-19).
  • En 40 nous avons connu les délations à répétition. Aujourd’hui cela est redevenu de mode du moins dans notre ville.

En 40 comme aujourd’hui, la résistance s’organisa, pour des raisons différentes naturellement.
Les FFI voulaient libérer le pays de l’occupant, retrouver leur statut d’hommes libres dans une France redevenue une puissance mondiale.

Nos résistants actuels tentent désespérément de comprendre l’utilité des mesures contradictoires que leurs chefs leur imposent et les principes de gestion qui sont les leurs.
L’inorganisation semble être la règle et l’échec toujours mis sur le compte des Français qui seraient indisciplinés et n’auraient pas respecté les règles édictées par nos « princes ».
En 40 nous avons subi la plus belle défaite de notre histoire, due non pas à nos  soldats qui voulaient se battre mais à l’incompétence de leurs chefs.
En 2021, combien de décès  aurions-nous évité si nous avions eu hier  des masques, des tests et aujourd’hui des vaccins ?

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