Je sais répondre à Cap’em c’est ennuyeux à lire et tellement répétitif.
Mais pouvons-nous faire autrement sans laisser le lecteur dans l’expectative devant les affirmations de cette équipe.
Cette semaine, les membres de ce groupe, se rappellent qu’ils ont écrit sur leur drapeau la défense du personnel que, par ailleurs personne à part eux, attaque.
L’article intitulé « démenti », affirme  en conclusion que Cap’em « démontre simplement les manquements de plus en plus notable de la part de la majorité municipale »
Conclusion incompréhensible. Manquements de quoi ? Envers qui ? Quelle démonstration ?
Pour notre part nous constatons que :
– les grèves   nationales  ne sont pas suivies par le personnel municipal d’Émerainville ;
– les procès avec le personnel n’existent pas ;
– chacun travaille avec conscience et plaisir.
Les rapports direction-personnel sont excellents.
Ce n’est pas une démonstration mais une  liste des faits que chacun peut vérifier.
Par contre, nous avons constaté que par stupidité Cap’em traîte le personnel de mairie de tous les noms, sans doute, pour salir l’équipe majoritaire et la rendre responsable du peu d’erreurs commises par le personnel.
Ainsi une équipe entière des services techniques a été traitée par M. Favory de « BANDE DE GUIGNOLS »  (j’ai supprimé la faute d’orthographe à GUIGNOL).  
Ainsi la directrice du service comptable a été jugée par Cap’em incapable, n’étant qu’une pauvre petite cadre B, de discuter avec la communauté d’agglomération.
Ainsi notre ancien DGS a été surnommé « l’éolienne » avec l’approbation expresse  de Mmes Touchard et Favory.
À ce stade et sans parler de défense du personnel, il serait souhaitable de respecter nos fonctionnaires municipaux.
Mais le mépris du personnel qui est une caractéristique de Cap’em, ne s’arrête pas là.
Cap’em méprise aussi les élus majoritaires et les résultats des urnes. Cap’em pense avoir gagné les élections municipales en 2020 et ne veut en aucun cas  demander quoique ce soit au maire considéré comme un usurpateur. Cap’em veut passer directement et quand il lui plait dans les bureaux des chefs de service lesquels évidemment après avoir consulté leur direction, ne peuvent accepter ce mode de travail.
Dans l’hypothèse complétement absurde ou Cap’em prendrait à ce jour, la direction de la mairie, une succession de démissions ferait qu’Émerainville se retrouverait sans aucune organisation des services.