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Rien n’a changé

« France, de ton malheur tu es cause en partie,
Je t’en ai par mes vers mille  fois avertie.
Tu es marâtre aux tiens, et mères aux étrangers
Qui se moque de toi quand tu es aux dangers,
Car sans aucun travail les étrangers obtiennent
Les biens qui à tes fils justement appartiennent. »
(Élégie à Guillaume des Autels. Ronsard 1560)

Ses vers démontrent à l’évidence que rien n’a changé en France dont les gouvernements successifs, contrairement aux responsables des autres pays,  ont  toujours cherché  l’intégration voire l’assimilation de l’étranger quitte à le favoriser dès son arrivée au mépris même des autochtones.
Chaque année naissent, 753 000 français, (premier taux de fécondité d’Europe en 2019) et notre pays accueille officiellement (mais sans doute les chiffres sont-ils nettement supérieurs) 733 000 étrangers.
Par ailleurs, 800 000 émigrés séjournent illégalement dans notre pays.
Le problème me semble beaucoup plus préoccupant que celui connu par le poète, car les nouveaux venus (trop nombreux), ont une religion, un mode de vie non seulement étranger à notre culture mais même opposée à elle.
Dans les années 60 -70 la France a accueilli de nombreux italiens, puis portugais, qui de culture européenne donc chrétienne, s’intégrèrent rapidement et ne posèrent jamais de problème sérieux à notre société.
Ce n’est pas le cas des émigrés actuels, porteurs d’une autre culture.
Et puis, j’ai honte de la manière dont ces émigrés sont reçus. Tous les discours larmoyants de la gauche française, des ONG, des médias me dégoûtent.
Tous savent que nous n’avons pas les moyens d’accueillir (plus ou moins contraint et forcé du reste), des étrangers qui ne parlent pas notre langue, n’ont pas de métier et n’apporteront rien à notre pays. Actuellement nous les laissons vivre sous le périphérique parisien sous une tente et au milieu des détritus.
Tout cela  n’est pas admissible.
Ou nous pouvons nous donner les moyens de les accueillir dignement ou nous ne les accueillons pas.
C’est simple, marqué du bon sens populaire,  aucunement philosophique.  Cela déplaira à nos penseurs de gauche qui nous ont toujours mis dans le pétrin, mais c’est la seule solution.

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