Dans un pays où l’état décide de tout, où les collectivités locales ne sont plus que des mendiantes, sans compétence réelle et avec des moyens financiers réduits à l’extrême. Il serait au moins bon que notre État tentaculaire remplisse convenable ses fonctions régaliennes principales : la sécurité et la justice au minimum.
À Émerainville, nous avons été parmi les premières communes à mettre en place, une police municipale et un système de vidéo protection. Sous les quolibets, les injures, de nos oppositions de gauche (communistes, socialistes, verts) qui, depuis sans bruit et sans se souvenir de rien, ont fait de même dans les communes au sein desquelles elles sont majoritaires.
Aujourd’hui notre ville est une ville sécurisée dans laquelle la délinquance est réduite à sa plus simple expression.
Il n’en demeure pas moins que les élus municipaux font régulièrement avec le commissaire de police, une analyse de la situation et il apparaît que deux principaux problèmes subsistent mais qui ne sont pas dans le domaine de compétence municipale :
– le quartier difficile
– les invasions par les Roms de locaux vacants dans la zone Paris Est.
Le clos d’Émery, pose trois problèmes :
1- la drogue qui n’est pas de la compétence municipale ;
2- l’isolement de la population, qui ne sait pas ou ne veut pas s’intégrer dans notre ville, affirme que rien n’est fait pour elle, alors qu’elle ne participe à aucune activité municipale (fêtes, activités culturelles et sportives de nos associations,…).
3- Des ados livrés à eux-mêmes qui se prennent pour les maîtres du monde et menacent toutes personnes qui pensent pouvoir entrer librement et sans contrôle dans leur quartier.
Ainsi des employés d’une entreprise, venus pour changer des leds rue Simone Veil, ont été menacés d’égorgement et ont stoppé leur réparation pour revenir le lendemain avec la force publique.
La propriété réclame de la lumière mais ne fait rien pour contrôler ses jeunes et pour protéger les entreprises qui viennent travailler pour elle.
Les squats et les migrants
L’importance de l’affaire dépend de la rapidité de la justice et surtout de l’intervention des forces de l’ordre.
Rue de Beaubourg, l’occupation d’une entreprise a été jugée illégale par un jugement en référé de novembre 2020…. . Ces délinquants, qui se promènent dans la ville sans masque, entassent leurs ordures n’importe où, assouvissent leurs besoins naturels dans la plaine nord, stockent des bouteilles de gaz sans aucune sécurité et sont toujours là un an après le début de l’occupation. Il va s’en dire que les contraventions ne sont pas de rigueur, (alors qu’elles sont réclamées et parfois avec virulence pour le citoyen lambda).
Quant au chef d’entreprise, victime du squat, rien n’est fait pour lui et il devra non seulement pallier aux conséquences économiques de ce délit mais réparer à sa charge les dégâts occasionnés.
Ceci constitue un véritable scandale et j’avoue ma surprise de voir une association « Théodule » financée sans doute par des fonds publics, être sur place pour demander aux Roms s’ils veulent partir et à quelles conditions ils le veulent bien.
Nous pouvons comprendre que nos industriels vont travailler dans d’autres pays où ils sont un peu plus considérés par l’administration locale.