Dans une économie libérale, les entreprises déficitaires disparaissent alors que dans une économie type socialiste, les pertes sont compensées par des  ressources étatiques, financées par les contribuables.
La gauche française crache sur l’argent, veut ruiner les milliardaires, et ne connaît rien au fonctionnement d’une entreprise, car les patrons de gauche sont aussi rares que des crocodiles végétariens.
Par contre, en cas de difficultés, elle recherche le sauveur tout en le méprisant et en œuvrant à sa perte.
Le journal Libération bien connu d’un de mes interlocuteurs qui affirme que ce papier est de gauche, réalise depuis plusieurs années des pertes d’exploitation considérables (2020 perte de 12,3 millions pour un chiffre d’affaires de 2021 de 31,5 millions.)
À mon avis la Nupes devrait réfléchir sur la taxation des super-pertes.
Par contre, ces pourfendeurs de milliardaires, des multinationales, qui appellent leurs ennemis à leur secours pour financer leur carence, leur incompétence ou le rachat de leur entreprise avant le dépôt de bilan, possèdent un raisonnement spécial.
Dans le cas de Libération, il s’agit d’un milliardaire tchèque qui va investir une somme de  15 000 000 €  pour que le journal continue à tenter de le détruire !
Je pense naturellement que tout cela n’est pas gratuit, mais j’ai encore été étonné de la déclaration d’une journaliste qui crachait sur son bienfaiteur et lui interdisait toute intervention dans la ligne politique du journal. Elle aurait, sans doute, été mieux au chômage et aurait dû s’interroger sur cette ligne politique qui n’intéresse plus les français lesquels ne lisent plus son journal, lequel n’a plus de raison d’être dans ces conditions.