Certes, ce groupe fait et écrit n’importe quoi sur son Facebook mais nul n’est obligé d’y allez voir. Certains de mes amis curieux et outrés par les propos qui y sont développés (ils n’ont pas encore le cuir suffisamment épais) me communiquent et les textes et leurs observations que la politesse m’interdit de reproduire ici.
Le dernier article porte sur le café restaurant de la mairie, qui a déposé récemment son bilan pour des problèmes avec son propriétaire, un office d’HLM qui doit être géré par Cap’em car lui aussi fait n’importe quoi.
Ce café n’était pas le lieu préféré des capémistes, un des leurs (Stéphane Denard, avait craché à la figure de l’exploitant pendant les élections. Mme Stocker avait créé un observatoire intitulé par nos soins le laboratoire Stasi, destiné à la surveillance du café pendant la Covid (quelques délations auprès de M. le Préfet ont suivi) etc.
Nous avons donc été très étonnés des pleurnicheries de Mme Quinion sur la disparition de ce commerce. On baigne comme d’habitude dans le non-sens et la contradiction.
L’article incendiaire de la femme de Zeus sur le Facebook de son équipe est, non seulement, une preuve de méconnaissance de la législation sur les « licences » (je peux donner des cours si nécessaire), mais également une preuve de la mauvaise foi du groupe qui a lui-même proposé au conseil municipal un montant maximum pour les enchères et à voter dans son ensemble un montant de 6000 €.
Cap’em se contredit en permanence.
Ainsi :
– Cap’em s’intéresse aux activités communales mais M. et Mme Quinion, ne sont jamais venus aux soirées spectacles (comme du reste les deux élus Verts) de peur de s’encanailler. Ces gens sont, sans doute, au-dessus du peuple.
– Cap’em s’intéresse à nos anciens mais critique bêtement la navette mis à leur disposition pour aller faire leur course à Pontault !
– Ce groupe est totalement inconnu des associations de personnes âgées, des anciens combattants etc.
– Cap’em s’intitule protecteur du personnel, qui se trouve très bien à Émerainville sous la férule d’un pseudo dictateur (aucun procès avec le personnel, aucune grève même nationale), mais dans la plupart de ses tracts Cap’em insulte les fonctionnaires municipaux (le DGS devient l’éolienne, la chef comptable une petite cadre B et le personnel technique dans son ensemble de Guignols).
En cas de succès de Cap’em aux prochaines élections il conviendra de comptabiliser le nombre de démissions, et de transferts demandé notamment dans le personnel « dirigeants ».
Et les contradictions se multiplient à l’infini et dans tous les domaines.
Par exemple, Cap’em veut une salle de fêtes sans savoir où l’implanter et sans prendre en compte le coût de l’opération, mais Cap’em est contre l’agrandissement de Guy-Drut qui désormais peut servir de salle des fêtes.
En résumé, Cap’em est un petit groupe d’opposition, sans programme précis, sans ligne politique (ce groupe comprend, des LR, des socialistes, une ou des animalistes, des Insoumis, des… des…) il a obtenu l’investiture de LR en 2020 ce qui prouve l’état de déliquescence de ce parti qui fut le mien. Ce groupe a été créé non pas pour gérer la commune mais pour donner le pouvoir à une personne dont l’ambition est de faire carrière en politique.
Il ne faut absolument pas que dans le futur, Cap’em puisse prendre le pouvoir. Cela serait une catastrophe pour notre ville.
N.B. : Nous allons prochainement sortir un bilan de mi-mandat. Il serait bon que nos oppositions fassent de même, non pas en critiquant nos actions mais en affichant leurs propositions, leur impact sur la ville, sur l’agglomération…
Une opposition doit servir à quelque chose et elle ne peut pas se contenter de bailler aux corneilles en criant des insultes.