Après la perte des élections, Cap’em a opté depuis ce score néfaste, pour une opposition d’harcèlement cherchant à paralyser la municipalité en contestant sur des détails, les élections, les actions et tous les actes juridiques passés par notre administration.
Sans réfléchir, Les capémistes s’opposent non pas aux élus majoritaires mais à l’administration municipale et préfectorale en remettant en cause le travail de ces collectivités. Nous n’osons pas croire qu’ils pensent dans leur candeur naïve, que ce sont les élus qui rédigent personnellement tous les actes, tous les arrêtés…
Leurs critiques, dénonciations, articles en tous genres portent uniquement sur des règles de forme, des points de détails. Rien d’important pour la commune n’est soulevé et l’intérêt de cette dernière n’est jamais envisagé une seconde. Il s’agit seulement de l’intérêt de Cap’em.
Mme STOCKER, Martine, (67 ans mais qui continue à se moquer du grand âge de certains élus majoritaires), a pour consigne de traquer les erreurs de forme sur les documents émanant de la mairie.
Chez Cap’em chacun a sa spécialité. M. Courtois spécialiste de la préhistoire, s’occupe des squelettes, M. QUINION gère le Clos et sans doute, les problèmes religieux, le communautarisme…
Mme STOCKER, les erreurs de forme ne changent rien au fond, n’ont aucune conséquence sur la vie de notre commune. Elles vous permettent de vous sentir exister et à l’occasion de compliquer la tâche de l’administration municipale en espérant que les erreurs éventuelle rejailliront sur les élus majoritaires.
Votre dernière contestation en préfecture portait sur l’irrégularité supposée des 13 arrêtés municipaux concernant les délégations de fonction aux élus.
Le 20 août 2020 la Préfecture de Seine-et-Marne a répondu à la capémiste par la phrase définitive suivante :
« Les arrêtés de délégation de fonction aux élus n’appellent pas d’observation au titre du contrôle de légalité. »
Evidemment la réponse allait de soi car les arrêtés municipaux sont transmis à la Préfecture qui les examine avant qu’ils n’acquièrent force de loi.
Nous perdons notre temps.