Samedi dernier, j’ai fait le tri dans mes dossiers informatiques et j’ai constaté qu’outre le besoin de procès qui fait la particularité de notre opposition capémiste , la plupart des demandes, reproches, contestations qui nous sont adressées font l’objet d’un double à M. le Préfet.
Qu’on en juge.
Doubles au Préfet pour les demandes suivantes :
Le 26 janvier 2022 : demande de consultation du projet pédagogique des centres d’accueil.
Le 16 mars 2022 : contestation de l’ouverture de Guy-Drut.
Le 18 mars 2022 : demande de pièces comptables.
Le 20 avril 2022 : demande d’accès aux archives.
Le 26 avril 2022 : demande de justificatifs d’absence pour les élus de la majorité non présents aux élections. Etc.
Je passe également sous silence l’élue animaliste- capémiste qui porte plainte puis se rétracte, le tout avec un double aux services préfectoraux.
Tout se passe comme si cette opposition, n’était pas certaine de ses analyses et cherchait l’appui d’un PAPA.
Certes leurs critiques, leurs procès, ressemblent à des demandes de gamins mais de là à embouteiller les services préfectoraux !
Leur attitude peut résulter du complexe du battu et du traître, mais nous devons ajouter le complexe de méconnaissance des dossiers et des problèmes.
À Émerainville, avec les précédentes oppositions, l’intervention du Préfet n’a jamais été demandée car il suffit de lire les textes puis éventuellement de se rencontrer pour une mise au point juridique.
M. Quinion occasionne un énorme travail au personnel municipal qu’il vilipende en plus, mais aussi une dépense importante pour financer la défense de la ville.
Par ses demandes incessantes, il trouble le travail du personnel municipal mais aussi celui de la préfecture qui devra, sans doute, employer du personnel supplémentaire pour répondre à tous les problèmes de CAP’EM.
PS : nonobstant toutes ces demandes, la préfecture n’a jamais fait une remontrance à la municipalité.