Il serait intéressant comme le fit La Bruyère en son temps (mais encore faut-il en avoir le génie littéraire) de décrire les caractères de certains membres du groupe CAP’EM, et d’analyser leurs réactions et leurs comportements depuis la création de leur équipe.
Évidemment, il n’est pas question comme au siècle de Louis XIV, d’aborder leurs vies privées ou leurs vies professionnelles (bien qu’ils ne s’en privent pas à notre égard) mais seulement d’examiner les raisons qui les ont poussés à entrer  en politique et leurs différentes attitudes depuis lors.
Pour M. Quinion, il y peu à dire sinon qu’il est dévoré par l’ambition et qu’il sera obligé d’accepter toutes les consignes données par son Parti (sans considération pour les intérêts de la ville) afin de briguer un poste de député qui sans doute lui a été promis.
M. Courtois domicilié chez Mme Stoker, dix mois avant les élections n’a jamais payé d’impôts sur la commune et sa candidature est sans doute motivée par une affaire juridique dans laquelle il est ou sera impliqué.
Spécialiste de la préhistoire, il recherche des squelettes dans le cimetière d’Émerainville et chef de la police municipale de Lagny, il se spécialise dans la critique de la police municipale de notre ville.
M. Le Meur a disparu depuis les élections et nous attendons ses idées lumineuses qu’il n’a pas pu développer quand il travaillait avec nous mais que rien ne l’empêche maintenant de rendre publique dans l’intérêt évident de notre commune.
Dans le cas contraire, nous serions obligés de conclure que M. Le Meur ne désire pas le bien de notre ville et qu’il ne dévoilera ses secrets, qu’en fonction de ses intérêts propres.
Mme Stocker c’est fait une spécialité dans le contrôle des règles de formes qui n’ont souvent que peu d’importance, mais qui permettent de harceler les services administratifs de la ville et de critiquer un acte sur sa rédaction tout en sachant que  sa correction ne changera rien à son importance et  à sa nécessité.
Le but est, sans doute, de faire  perdre du temps aux services municipaux et aux services préfectoraux, sans rien amener de nouveau.
Par contre cette spécialiste, de la « droiture », pourra sans doute nous expliquer le contrat de location « bidon » qu’elle a consentie à M. Courtois sur une partie de son appartement.
Elle pourra sans doute nous donner l’adresse exacte de M. Courtois pour l’envoi des lettres en recommandées.
Mme Élodie Touchard, demande rendez-vous sur rendez-vous à M. le maire et jusqu’à présent n’est venue à aucun de ceux qui lui ont été donnés.
Pas du tout gêné par ces manquements  à répétition, qui font naturellement perdre, un temps précieux à l’élu, elle pratique maintenant le harcèlement téléphonique  en appelant le maire la nuit pour des motifs futiles.
Enfin une attitude générale chez les CAPÉMISTES consiste à rejeter individuellement toutes les parutions de leur groupe au motif, qu’ils ne les ont pas lues, ou qu’ils ne sont pas en accord avec ce qui a été écrit.
Ainsi pour  le rejet des vieux (un des  éléments principal de leur campagne), ils se rappellent tous avoir eu un grand père, une grand-mère et même des parents.
C’est dire s’ils réfléchissent !