Les élections municipales de 2020 se sont déroulées à Émerainville dans une ambiance digne d’un film sur la mafia sicilienne.
Je m’étonne qu’après 5 victoires électorales successives, que certains opposants ayant travaillé dans mon équipe pendant au moins deux mandats (12 ans), puissent me traiter de dictateur, titre dont m’a affublé la gauche dès sa première défaite à Émerainville en 1995.
Il faut absolument que ces personnes consultent un dictionnaire pour connaître la signification réelle des mots.
Je m’étonne qu’après avoir demandé l’annulation des élections pour plus de 20 motifs, la décision du tribunal qui a rejeté la demande n’ait pas fait l’objet d’un appel.
Quand on est sûr de soi, on va jusqu’au bout.
Je m’étonne qu’après s’être autoproclamé défenseur du personnel, Cap’em dépose une plainte pénale dans laquelle un certain nombre de fonctionnaires municipaux serait impliqué.
Je m’étonne de l’incroyable méconnaissance dans des domaines essentiels pour la commune (urbanisme, finances marchés…) des membres de la liste Quinion.
Je m’étonne de l’absence totale en mairie des membres de Cap’em, en cette période de pandémie (aucune proposition d’aides aux services sociaux, aucune présence sur le terrain…).
Cette opposition fit de même lors du premier confinement et perdit une grande part de sa crédibilité car il ne sert à rien d’écrire des tracts incendiaires, des messages mensongers.
Seuls comptent l’action et les résultats.
Je m’étonne du temps que nous fait perdre cette pseudo opposition avec ses désirs de vengeance, ces refoulements, ses complexes.
Dès le résultat du second tour, et en faisant fi des recours, Émerainville au cœur a travaillé pour la commune et pour la réalisation du programme proposé aux électeurs.
La lutte contre la propagation de la Covid-19 et les règlements sanitaires qui changent de jour en jour nous prend énormément de temps mais les résultats sont là et notre ville n’a pas été très impactée par ce fléau.
Je remercie le personnel communal pour son dévouement et son travail nonobstant tous les risques que cela comporte.
Je remercie aussi les élus majoritaires qui comme lors de la première vague sont restés à leur poste et sont toujours présents en mairie et lors de réunions de travail (commissions, bureaux municipaux, ateliers, réunions CAPVM etc…).