Alain Kelyor
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Cap’em continue

Alain Kelyor

Il serait bon que notre opposition plutôt que de perdre toutes les élections et tous ses procès, s’intéresse un peu à la commune.
La réalité est dure mais c’est la réalité et les 6 Capémistes  seront jusqu’en 2026 dans l’opposition.
A eux de nous montrer leurs qualités, à eux de proposer des solutions différentes, bref à eux de tenir leur rôle d’opposants et pouvoir ainsi se présenter devant les électeurs la tête haute  en 2026.
Après leur échec sur le plan administratif (le tribunal a validé les élections et Cap’em n’a pas fait appel de la décision) nous avons à faire face à une plainte pénale.
Cette seconde demande revient à réclamer  un second jugement sur des faits qui n’ont pas eu d’influence sur le résultat électoral mais impliqueraient des membres du personnel.
Cap’em qui s’est autoproclamé défenseur des fonctionnaires communaux, accuse un certain nombre d’entre eux,  d’avoir couvert d’éventuelles malversations.
Il y a, peut-être, des protecteurs plus efficaces et « Dieu protège moi de mes amis, mes ennemis je m’en charge » deviendra, sans doute, la devise des salariés de notre mairie.
Le personnel communal est critiqué sans arrêt, il se sent épié en permanence et finira par demander la protection juridique de la mairie.
Il faut que cela cesse, le  DG est traité de larbin, la directrice du service comptable d’incapable qui ne peut pas suivre un débat avec la communauté d’agglomération, la responsable du service des affaires générales, celle du service « marchés » ou encore celui des services techniques…
Comment travailler dans une telle ambiance ?
Que cap’em, surveille la vie professionnelle et même la vie personnelle des élus, que cap’em photographie le restaurant et la voiture personnelle de Mr BITBOL, que Cap’em dénonce tout et n’importe quoi, que cap’em passe le soir en catimini pour vérifier si la voiture du maire est bien stationnée devant l’hôtel de ville, passe encore, mais que Cap’em, espionne le personnel de mairie et se permet de critiquer leur activité sans jamais mettre un pied sur leur lieu de travail est inadmissible.

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