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La haine de la réussite et des entreprises

Les élections communales départementales, régionales sont terminées et nous abordons désormais, les présidentielles qui seront suivies des législatives.
Toutes ces élections ont un coût considérable mais permettent à l’électeur de voir les candidats enfoncer des portes-ouvertes et promettre des actions qu’ils ne réaliseront pas, ou qu’ils n’ont pas pu réaliser lors de leur passage au pouvoir.
Il en résulte une lassitude chez les Français qui finissent par préférer la pêche que les urnes.
Il y a peu François Bayrou se révoltait contre les réalités économiques que chacun connaît : l’endettement de la France et son déficit de la balance commerciale.
Il avait raison, mais il a oublié de nommer les responsables politiques de ce naufrage.
Certes, ce n’est pas le contribuable moyen qui  paie toujours plus d’impôts et travaille d’arrache-pied quand il trouve un boulot.
Alors qui ?  
Qui n’a pas soutenu notre industrie ? Qui en a vendu une grande partie à l’étranger ? Qui a pris des mesures sociales, fiscales, économiques pour la couler ?
Qui nous oblige à dépenser des fortunes dans les énergies renouvelables sachant qu’elles ne sont pas l’avenir ? Aucun des moulins n’est fabriqué en France ?
Mais après les responsables politiques : qui forment notre jeunesse dans le mépris, des riches et des ultras riches ?
Dans une nation qui hait la réussite, qui hait ses entreprises, qui est la seule au monde à se laisser diriger par des syndicats révolutionnaires qui tentent de détruire le système libéral, je n’aperçois pas très bien les mesures qui nous rendraient notre grandeur passée.
La France est un pays à structure  communiste et je rappelle que l’URSS a explosé pour des raisons économiques

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