La plume ; est serve, la parole est libre

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La plume ; est serve, la parole est libre

Ce vieille adage  s’applique au ministère public et pourrait s’appliquer à nos Verts mais pas à nos capémistes qui font rigoureusement l’inverse.
Pour les Verts, la parole n’est pas très utilisée mais la plume est bien serve et  ne fait que rabâcher le programme de la Nupes (ne pas boire, ne pas se chauffer, ne pas s’éclairer, ne pas se transporter, manger que les productions tirées du sol  des environs…). Ce programme n’a évidemment aucun rapport avec un programme municipal, programme que les Verts n’ont jamais eu d’ailleurs. Il cache le manque de travail communal, et les véritables mesures que prendrait leur  parti si le pouvoir municipal lui était donné (suppression de la PM notamment).
Il est vrai que deux élus sur 29 c’est peu d’autant plus que l’un est conseiller régional du 78 (nous sommes dans le 77) et l’autre ancien communiste cherche à débusquer les riches émerainvillois (car pour lui la réussite sociale est un crime).
À la manière des soviets et en attendant le grand jour, il a rejoint les idiots utiles. Attention les Verts, les Rouges sont peu nombreux (comme les soviets en Russie lors de la révolution d’Octobre) mais superbement organisés et d’une efficacité redoutable.
Pour la seconde opposition, (la meilleure celle qui nous fait le plus rire) la parole n’est pas utilisée ni  en commissions ni en conseil municipal même si pour le conseil , la séance étant  filmée  nous avons le droit à deux ou trois critiques de bas étages par réunion . D’ailleurs Cap’em a refusé l’enregistrement des séances des commissions jugeant, sans doute, que ses représentants n’y brillaient pas. La démocratie capémiste c’est cela et nos donneurs de leçons font leur coup en douce, les coquins.
Par contre, la plume est loin d’être serve, et il suffit de lire les articles publiés sur les FB de cette opposition pour sans convaincre.
En commission, l’unique représentant capémiste  est courtois,  et s’il ne participe pas aux débats,  il écoute prend des notes et s’instruit. Mais là où l’affaire se gâte, c’est dans  la rédaction des comptes rendus et nous finissons par nous demander si le rédacteur a bien écrit ce qui lui a été rapporté.
 Interrogé l’elu(e) s’en tire par une pirouette, nous avons mal compris, il n’a pas dit cela au rapporteur, il ne lit pas les posts sur le fb de son groupe …
Mais qui écrit ces comptes rendus ? Sur quelle base ? Sur quel résumé ? Il est certain que dans ce groupe de 6 personnes qui viennent d’horizons politiques différents, que rien ne rapproche, des désaccords profonds doivent apparaître. Pour survivre, il convient d’afficher une solidarité de façade.
Nos contacts avec la population et même avec des membres non élus figurant dans la liste 2020  de Cap’em, fait ressortir un rejet de cette équipe par les électeurs qui constatent comme nous l’avons constaté nous-mêmes que  Cap’em ne remplit pas son rôle d’opposition, ne fait qu’envenimer les choses. Tout le monde a compris que le but ultime de cette équipe  n’est pas la gestion de notre ville mais la mort de l’équipe majoritaire et peu importe l’intérêt d’Émerainville.

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