La politesse :
« Voici la ronde des jurons,
Qui chantait clair qui dansait rond
Quand les capémistes de bon aloi
Du franc-parler suivaient la loi
Jurant par-là
Jurant par-ci
Jurant à langue raccourci
Comme des grains de chapelet
Les joyeux jurons, défilaient
Quelle pitié
Les charretiers
ont un langage châtié
les harengères
et les mégères
ne parlent plus à la légère
fin de la page poétique. »
L’analyse de notre situation à mi-parcours nous imposait tout naturellement l’examen des actions communales de nos adversaires. Le constat fut d’une rapidité et d’une simplicité fulgurante pour les deux oppositions :
RIEN, NADA, NOTHING, QUE DALLE, NICHTS, etc.
Pour Cap’em :
Il n’y a rien à retenir des actions, des propositions ni même des discussions de Cap’em durant ces trois premières années de mandat exceptée une série d’injures à l’encontre du personnel municipal et des élus majoritaires d’Émerainville.
Évidemment nous comprenons que compte-tenu de la faiblesse des moyens intellectuels de ses membres, Cap’em se soit spécialisé dans deux domaines qui ne nécessitent pas des QI importants :
– la critique des détails (manque de virgules, mauvais pagination, faute de frappe) qui ne sert à rien sauf à faire semblant d’exister,
– Les insultes en tout genre venant des élus, de leurs proches, de faux-noms inventés dans le plus pur style des médias sociaux.
M. Favory traîte de « Guignols » le personnel communal pensant, sans doute dans sa candeur naïve, salir les élus. Si par malheur, il est un jour élu à la mairie, il y a fort à parier qu’il aura, de suite, des amis dans la place.
M.Courtois, chef de la police municipale de Lagny insulte le maire et le traite d’ « être vil ». Le respect semble se perdre, non plus dans les usines de nos grands-pères, mais bien dans les locaux de la police municipale de notre ville voisine.
– À la lecture de leurs proses, nous pouvons constater le niveau intellectuel de ces « écrivains » qui voudraient diriger la commune et qui, sans doute, pourraient porter haut la renommée de notre ville en matière de vocabulaire poissard. Il est plus facile d’insulter le maire que de débattre sérieusement avec de vrais arguments lors d’une commission ou d’un conseil.
Par contre, le fait pour les élus minoritaires de ne pas cesser de cracher sur les élus majoritaires, a pour effet de dévaloriser la fonction et engendre dès lors son irrespect.
Je rappelle que les maires subissent au quotidien des attaques sur leur personne, que M. Courtois chef de la PM de Lagny-sur-Marne est censé représenter l’ordre républicain qu’Il n’a jamais eu la digne posture d’un policier, qu’il ne connait pas le sens de la mesure, le respect de la hiérarchie alors que par son métier, il devrait posséder le sens de la discipline.
Pour les Verts locaux :
La Nupes ne s’est jamais intéressée à la commune, son leader communal, recherchant uniquement un poste bien rémunéré. Il fut élu au conseil régional pour représenter le 78, département dans lequel il n’a jamais mis les pieds.
Et l’on s’étonne ensuite que tout parte à vau-l’eau.