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Les brèves de Cap’emtoire

J’ai relu un bouquin sur les brèves de comptoir. Les thèmes exposés pour faire sourire le lecteur n’ont pas changé. À notre échelle, les reproches, faites à la mairie en sont une preuve évidente.
Je reprends donc les éléments émerainvillois qui pourraient faire l’objet de brèves telles qu’elles sont écrites dans le livre.

1- reproche : les affiches concernant les évènements culturels 2022 n’ont pas été retirées des panneaux municipaux.
Scandale. Il faut une punition exemplaire pour le personnel municipal que l’opposition affirme cependant  vouloir protéger contre l’affreux tyran qui depuis 1995 dirige la ville.

Réflexion : comme Cap’em ne fait rien il doit considérer que le monde appartient à ceux qui ont des ouvriers qui se lèvent tôt, allez  Cap’em un coup de main venez installer les panneaux avec les prolétaires.

2- constatation : une opposition est en difficultés financières et a lancé un appel à l’épargne publique.
Elle se prend pour la présidente de Région. 15 € par Émerainvillois  pour remettre à flots un groupe de 6 personnes. Cette souscription, peut rapporter 120 000 €  (8000 habitants x15€) pour n’avoir rien fait et sans justifier de rien. Pour souscrire on veut des comptes, mais aussi la liste des actions communales entreprises. Cap’em mieux que Total.

Réflexion : en dépôt de bilan ou pas,  Cap’em, tu es poussière et tu retournes poussière. Pour des rêveurs politicaillons,  c’est dur comme idée  à accepter.

3- constatation : le café de la place de la mairie a fermé ses portes et déposé son bilan. La commune a tenté de récupérer la licence IV vendue aux enchères. Le conseil municipal a autorisé à l’unanimité  la ville  à participer à l’enchère publique tout en fixant un montant maximum demandé par Cap’em. Ce montant fut fixé à l’unanimité à 6 000 € somme au-delà de laquelle la commune ne pouvait plus surenchérir.  
Ceux qui n’ont jamais fréquenté le café, et même ont tenté de le démolir pleurent aujourd’hui la perte de ce commerce sans connaître du reste les conséquences réelles de la perte d’une licence IV, remplacée aisément par une licence III.

Réflexion : le niveau intellectuel étant des plus bas on peut se demander si  le  plus grand plaisir cérébral des capémistes se passe lorsqu’on les coiffe.

4- Un avatar a écrit en baragouin, charabia, galimatias, pataquès, le tout sans honte sur un FB innommable , que je devrais partir en EPHAD compte tenu de mon grand âge.

Réflexion : Proust est tombé dans le domaine public et  maintenant tout le monde a le droit d’écrire du Proust. Le fond de l’article sera toujours aussi débile mais la forme plus supportable.

5- Une erreur de lettre  a été faite sur un panneau municipal. M. Favory traite le personnel de guignole (faute d’orthographe en prime) Mme Touchard se scandalise, et une ancienne salariée de mairie ironise sur la vieillesse et ses méfaits. À ma connaissance, deux de ces « écrivains » sur trois sont à la retraite et donc beaucoup plus vieux que les membres du personnel qui ont commis « l’erreur du siècle ». Pour ces penseurs illuminés qui croient, sans doute, que le maire construit les panneaux et les pose lui-même.

Réflexion : c’est quand ils ne pensent pas qu’ils réfléchissent plus.

Je conseille à ce genre de détracteurs qui méprisent et le personnel municipal et les personnes âgées une petite introspection et sûrement un séjour en clinique. Il faut qu’ils se mettent une bonne fois dans la tête qu’ils ont été incapables, sont incapables et seront incapables de gérer une commune. Quant à la vieillesse, le plus vieux est celui qui meure le premier.

Réflexion  Il y a des gens qui meurent de vieillesse à 50  ans d’autres à 60 d’autres à 90 d’autres à 100, c’est vraiment n’importe quoi.

6- Pour finir ces réflexions sur les articles capémistes, réflexions qui pourraient s’étendre à l’infini,  je conserve précieusement le discours prononcé par M. Courtois  lors du conseil municipal  du 10 mai 2021  qui m’accusait de ne pas avoir d’amour, d’empathie, de tolérance, vis à vis des membres de Cap’em, (il faut quand même oser).  Jugeant les autres à l’aune de ses possibilités intellectuelles, il s’étonnait du nombre de mes posts et pensait qu’il m’était impossible compte tenu du temps qu’il passerait lui a en écrire un, de remplir de plus mes fonctions de maire. Pour lui, je représente ce qu’il y a de plus vil dans la nature (Ouf et il paraît qu’ils sont polis, bien élevés, qu’ils ont fait des études supérieures …).
Ce policier municipal donne dans la démesure et  crie partout que nous avons volé son programme municipal :

Réflexion : la langue la plus difficile à apprendre, c’est se taire.

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