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La trahison ne paie jamais !

Mélenchon est un grand tribun et il développe actuellement son programme.
Ce politicien qui a déjà pris deux vestes aux deux dernières présidentielles,  joue son avenir car il est peu probable qu’il se représente de nouveau dans 6 ans.
Il tente de récupérer la totalité des voix de gauche et notamment celle du communiste qui a le vent en poupe et qui joue les ZEMMOUR de gauche.
Ces deux candidats ont le même programme sur le plan économique. Il est identique à la totalité des programmes de gauche depuis 1936, sauf que les socialistes (ces idiots utiles pour les communistes russes mais qui ont bien possédé les communistes français) ne l’appliquent pas.
Comme toujours avec eux,  nous aurons la nationalisation de l’économie (comme si l’État pouvait faire mieux que le secteur privé, lui qui est incapable de gérer convenablement toutes ses fonctions régaliennes), le rétablissement de l’impôt sur la fortune, l’augmentation des droits de successions, l’augmentation de l’IS, la mort des super-riches puis des riches, puis des moins riches, la fin des GAFA.
Bref, une augmentation d’abord partielle des impôts, pour les affreux capitalistes, puis comme cela ne suffira pas une augmentation générale, lorsque ces dirigeants,  sans expérience, s’apercevront que les riches sont partis, que les entreprises ferment, que les actionnaires ne veulent plus investir en France. Nous aurons alors droit à une augmentation générale car seule la classe moyenne (la plus nombreuse) sera comme toujours la seule à pouvoir combler le déficit généré par la gestion de l’État par des ignares.
Mitterrand nous a déjà fait le coup et le budget de la France  s’en souvient encore.
Comment peut-on imaginer faire de l’ÉTAT, l’unique employeur de tous les Français, alors que nous connaissons la situation de toutes les entreprises qu’il gère.
LA SNCF, la RATP, les hôpitaux, la recherche, l’éducation nationale… TOUS sont en capilotade et les grèves succèdent aux grèves.
Quand l’État arrive, le personnel augmente, les syndicats s’implantent, le temps de travail diminue, les déficits se creusent et le contribuable paie la note.
Pour la droite, LR se « droitise » et la ligne CIOTTI,  domine désormais. Le problème est simple, pour PÉCRESSE, il faut récupérer  les voix du centre droit attirées par notre président actuel et les voix de LR déjà parties chez ZEMMOUR. Le pari est difficile mais pas insurmontable.
« Marianne n’est pas voilée, je ne veux pas voir en France des femmes baissant les yeux en marchant et en logeant les murs », la droite dure doit se réjouir d’entendre ses phrases qu’elle utilise depuis des dizaines d’années.
Je suis naturellement très satisfait de savoir que la gauche, l’extrême-gauche, le centre gauche,  la droite, le centre droit  la droite dure, désirent tous mon bonheur, mais :

– Je m’inquiète sur les possibilités juridiques, financières, qu’ils possèdent pour réaliser leurs promesses.
– Je m’inquiète aussi de ces alliances, et de ces ralliements dont je ne connais pas les motivations profondes et qui permettent à des ennemis d’hier de devenir des amis d’aujourd’hui. (Changement de doctrine ? Changement d’idées ?  Opportunisme ? Carriérisme ?)
– Pour moi, le modèle type de la trahison, du changement d’idées, de l’opportunisme est représenté dans notre commune par Cap’em et, je m’inquiète lorsque je vois l’État à l’échelon communal de ce groupe, lequel aux dernières municipales a tenté non pour la ville mais uniquement pour le pouvoir,  de réaliser  la fusion LR – PS local, (il a raté les Verts).

Si cette équipe sans âme avait gagné les élections il y aurait eu très rapidement un combat des chefs et des démissions à répétition, comme nous en avons subi dans le passé lorsque les Verts de M. HULEUX sentant la victoire proche, s’étaient alliés aux roses de M. DAURIAC, tête de liste socialiste de l’époque.
Battue et dans l’opposition cette alliance avait duré à peine 6 mois avant que les Verts ne démissionnent pour créer leur  propre groupe.
La trahison ne paie jamais pas plus que la critique systématique et ;

« À force de critiques, on
Peut-être blâmable 
La parfaite raison fuit
Toute extrémité,
Et veut que l’on critique avec sobriété »

Pastiche de qui ?

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