L’insignifiance de notre opposition capémiste

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L’insignifiance de notre opposition capémiste

Alain Kelyor

Par un triste dimanche pluvieux, alors que je visionnais le film du dernier conseil municipal (vidéo qui est sur le site internet de la ville), j’ai constaté une fois de plus l’insignifiance de notre opposition capémiste et son désir de nuisance.
J’ai analysé les différentes questions    et les différentes critiques du groupe Cap’em lors de ce conseil.
Composé de six élus, Cap’em ne présente pas un front uni,. Nous n’avons pas en face de nous un groupe de 6 personnes mais 6 groupes d’une seule personne.
L’anti Kelyor est leur seul point commun et je peux me targuer d’être leur seule motivation car de la ville ils s’en moquent.
M. Bernard Le Meur qui est à la retraite dans le sud de la France ne nous communiquera jamais ses recettes magiques pour le sport et ne sera présent à Émerainville que les mois d’hiver (et encore, s’il fait froid dans le midi).
Mmes Favory et Touchard, même si elles font le minimum syndical, accomplissent correctement leurs tâches.
M. Courtois respire la haine et ne connait pas ses dossiers. Locataire à titre gratuit de Mme Stocker, il ne possède aucun centre d’intérêt sur la commune et nous ne connaissons toujours pas les motivations expliquant son arrivée. 
M. Quinion rumine son échec, que dans sa candeur naïve, il ne peut pas s’expliquer, alors qu’étant élu des  Dieux, la victoire était certaine…
La réprobation des Français pour la trahison et les magouilles politiques, ne lui viennent pas à l’esprit.
Comment peut-on espérer être élu, en trahissant ses amis et en tentant de récupérer tous les courants et doctrines  politiques des verts en passant par celle des rouges, des bleus et même des bruns, pour construire une liste « étrange » ?
Et le pire, c’est qu’il n’a pas honte, pas plus que le parti qui lui a donné son investiture.
Mais passons aux critiques de l’opposition capémiste :

1- Sur le compte rendu du conseil municipal précédent :
Il n’aurait pas été retranscrit une phrase de M. Quinion qui aurait dit que l’assistance juridique que je demandais était un abus de pouvoir et que la majorité avait approuvé son analyse.
Pour l’abus de pouvoir, la justice statuera. Quant à l’accord de la majorité sur cet abus, on croit rêver. Il devait être avec son  arc-en-ciel très haut dans l’Olympe pour avoir entendu cela.

Que sa plainte pénale contre notre équipe municipale n’a pas été rejetée, et qu’il y a eu un rappel à la loi donc une condamnation.
Je cite l’acte : « nous avons décidé de ne pas vous poursuivre et de vous adresser à titre d’avertissement le présent rappel à la loi ».
En français un avertissement n’est pas une condamnation sauf peut-être pour les littéraires de Cap’em.
Ce groupe  nous pose trois problèmes :
– qui s’occupe des problèmes juridiques pour perdre tous ses procès et pour écrire n’importe quoi dans ce domaine ?
– Qui rédige ses articles et autres tracts qui sont d’une banalité et d’une outrecuidance étonnante ?
– Qui refuse de voir la réalité en face et continue à affirmer que son groupe a gagné tout même  ses procès ?  Il suffit de lire les jugements et de se renseigner un  minimum sur les dossiers que Cap’em conteste.

Les six élus Cap’em approuvent quand même le compte rendu, ce qui ne paraît pas très logique, mais c’est Cap’em.
M. Quinion précise ensuite que M. Mercier n’a pas refusé son poste au conseil municipal ni donné sa démission mais qu’il a déménagé. M. Mercier  a refusé de rejoindre le conseil municipal et ne peut plus désormais en faire partie. Si ce n’est pas une démission, qu’est-ce ? Le  changement de résidence n’est pas une excuse sauf si le nouveau domicile se situe à plusieurs centaines de kilomètres rendant l’exécution normal du mandat impossible.
Cap’em explique tout, mais à sa manière.
Mme  Stocker déclara qu’Émerainville au cœur ne voulait pas de M. Bitbol dans ses rangs.
Cette haine contre un de nos élus est inexplicable et l’affirmation dans le plus pur style capémien (j’accuse mas je ne prouve jamais rien) est évidemment un mensonge éhonté.
Comment pouvoir penser qu’une équipe puisse accepter parmi ses membres une personnalité qu’elle ne veut pas ?
Chez  Cap’em peut être ? Cela expliquerait alors les démissions successives de 2 élus sur 6 en 1 an.
Mme Stocker, ancienne de la liste Émerainville au cœur, autrefois maire-adjoint chargée de la culture, a confirmé qu’elle avait pris des photos du restaurant lors du confinement et qu’elle avait déposé une plainte auprès de M. le Préfet.
Est-ce bien dans les fonctions d’une élue ce travail d’espionnage ?,
Mme Stocker est-elle policière ? Affectée à la sureté ? Est-elle commissionnée pour ses délations ?
Ne se trouve-t-elle pas ridicule après avoir annulée sa plainte pénale contre notre cafetier ?
Évidemment, le caractère offensif de cette élue ne nous a pas épargné les critiques notamment sur l’adjointe au maire  chargée de la petite enfance qui a remplacé Mme Quinion et qui après avoir pris ses marques fait un excellent travail.
Pourquoi ce besoin de critique acerbe ? Mme Quinion faisait elle mieux, ou est-ce de la lèche ?

M. Courtois affirme que les policiers municipaux n’ont jamais touché les indemnités résultant des procès que la mairie, compte tenu de la protection juridique qu’elle doit à ses salariés, a fait pour eux contre les délinquants.
Évidemment, tout cela est faux, les policiers municipaux n’ont jamais payé lors des procès des frais d’avocat et ont perçu les indemnités que le tribunal leur a accordées.
Nous hésitons en ce qui concerne cet élu, entre la mauvaise foi l’ignorance et  le mensonge, mais il y a sans doute des trois.

M. Courtois,  espère qu’en cas de victoire de M. le Maire contre Cap’em, le premier magistrat n’en profitera pas pour augmenter sa fortune personnelle.
M. Courtois a par ailleurs confirmé ses dernières insultes.
Il conviendrait d’expliquer à cet élu que l’opposition n’est pas en place pour insulter le Maire, ni pour faire des enquêtes au cimetière mais pour travailler dans l’intérêt de la ville.

M. Quinion exige que chacun se défende avec ses propres moyens financiers.
Merci pour les salariés de mairie dont il se proclame le défenseur, mais qu’il ne fait en réalité qu’attaquer en permanence.

Mme Stocker a posé des questions sur la coulée verte dont elle semblait ignorer le projet.
Ce dossier date de plus de quinze ans et Mme Stocker a travaillé avec nous six ans d’affilés.
Ces troubles de la mémoire semblent être communs à tous les élus Cap’em provenant de nos rangs.
Peut-être expliquent-ils leur trahison ?

Durant toute la séance M. Quinion a regretté le manque de consultation de la mairie qui n’associe pas à ses réflexions les habitants, les entreprises, les commerçants, le groupe Cap’em, les associations…
Il s’agit d’un reproche « bateau » utilisable quand on n’a rien à dire mais avec des blablablas identiques, cet adorateur de la démocratie directe devrait réussir en démocratie représentative même si ses talents d’orateur sont limités. 
Évidemment ses affirmations sont erronées et le Maire lui a fait remarquer qu’en commission de travail, les élus Cap’em, à l’exception de Mme Favory, ne prononçaient pas un mot et venaient en commission comme des écoliers vont en classe. Nous pensons d’ailleurs fournir une trousse un cartable et un tablier gris aux armes de Cap’em pour tout élu du groupe qui se déplacera pour se cultiver.
Il faut vaincre l’ignorance et l’illettrisme qui font d’énormes progrès en France.
De plus Cap’em n’a jamais  réclamé une réunion sur un sujet quelconque.

Enfin, trois réunions ont eu lieu dans trois quartiers de la ville. Aucun élu Cap’em n’est venu pour deux d’entre elles, 1 seul était présent lors de la troisième. Nous sommes habitués aux demandes de Cap’em qui ne sont en fait que des critiques et qui lorsqu’elles sont acceptées ne sont pas utilisées (voir la salle de réunion pour l’opposition dans la mairie).
Il a reproché à la mairie d’avoir rénové trois toitures d’écoles
Nous en avons réalisé deux seulement, (mais il n’est pas à une toiture près) les trois autres sont à venir.
On constate la grande connaissance des dossiers, des problèmes et des réalisations.  

Il trouve le projet de stade stupide car pour lui la distance entre le collège et le stade est beaucoup trop grande.
Évidemment la durée du parcours stade-collège a été vérifiée et cette remarque prouve que l’homme à l’arc-en-ciel prend les autres pour des crétins. Mais comment peut-on poser une question aussi stupide quand on a été adjoint au maire à l’urbanisme ?
Comme pour Mme Stocker, la mémoire sans doute…  
M. Quinion poursuit ses critiques sur le château, affirme que la majorité des habitants est contre l’arrivée des commerces et reprend sa litanie sur la qualité du travail administratif de France Pierre.
Une enquête sera faite pour connaître l’avis des habitants avant de prendre une décision, mais les appartements semblent se vendre facilement et les nouveaux propriétaires pas mécontents
De plus s’il faut prendre en compte l’intérêt individuel, l’intérêt collectif doit prévaloir.

M. Quinion se pose des questions sur le nouveau PLU  et les intentions de l’aérodrome qui ne  construit plus  la troisième piste. Pour lui il n’y a aucune urgence.
Il a été maire adjoint à l’urbanisme, une telle perte de mémoire est invraisemblable. Il faut qu’il aille de toute urgence consulter.
Un nouveau PLU exige au moins deux ans de travail.  

Il a critiqué les commerces et le manque d’entretien de la Place Saint-Just, en sachant pertinemment que la mairie n’étant pas propriétaire de la place et des murs, les commerces qui s’y installent ne dépendent pas d’elle. La municipalité a, cependant, créé une zone de préemption sur les immeubles et sur les fonds de commerce afin d’attirer des commerces essentiels. Les conséquences de cette mesure se feront bientôt sentir.
Il a été maire adjoint à l’urbanisme, il connait le problème et il se moque du monde dans ses reproches.

Il a ensuite contesté la nouvelle antenne téléphonie Bouygues  qui sera installée au stade.
La solution trouvée est un moindre mal (des pourparlers avaient déjà débuté pour une implantation dans le Hameau même, chez Montoit). Le projet a été abandonné sur intervention de la mairie.
Que veut M. Quinion ? Une antenne en plein centre de Malnoue ? Plus de téléphone dans la ville et le recours au tamTam ?
Par contre un risque existe encore, concernant l’installation d’antennes le long de l’autoroute et de la Francilienne. Un opérateur prend actuellement contact avec des personnes privées propriétaires de terrain. Nous espérons que pour ces personnes,  l’intérêt collectif l’emportera sur l’intérêt particulier.

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