Quand Cap’em pédale dans la choucroute

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Quand Cap’em pédale dans la choucroute

 Deux ou trois heures après la cérémonie du 11 novembre, cérémonie qui s’est passée à merveille avec des jeunes émerainvillois venus chanter la Marseillaise, et après avoir partagé le repas des anciens combattants, je retournais tranquillement chez moi quand une élue Cap’em m’a appelé  pour me demander téléphoniquement,  si elle pouvait éventuellement assister à un bureau municipal pour voir comment nous travaillons.
Je lui ai expliqué que pour ma part je n’y voyais aucun inconvénient, mais que n’étant pas seul dans l’équipe je demanderai l’avis de mes équipiers lors du prochain bureau municipal.
Une situation identique s’est déjà présentée avec M. Huleux et même si ce dernier accord fut dénaturé et rejeté par celui qui l’avait demandé, les collaborations individuelles souhaitées sont toujours les bienvenues.
Le soir même j’apprends qu’un article au vitriol a été écrit sur le Facebook de Cap’em m’accusant de débaucher des membres de son groupe.
Sous le titre de « tentative vaine de démarchage », Cap’em a dénoncé mes manœuvres pour tenter de rallier à « ma cause perdue » un de ses membres.
Certes et même si  les articles de Cap’em sont lus par une petite dizaine de personnes, je me dois de répliquer (pour mes détracteurs, cela me demande du reste pas plus de 5 mn).
Je passe sur les gentillesses habituelles  du type, « énième mensonge, action digne d’un enfant de crèche… »,  mais il paraît en plus que je donne par mes errements sa vraie valeur à Cap’em.
Bon on récapitule sur la valeur de Cap’em :

1-défaite aux élections municipales (6 élus contre 21 pour Émerainville au cœur) ;
2-défaite dans tous les procès intentés.
Je ne vois pas en quoi « ma cause est perdue », alors que nous avons tout gagné et que notre équipe tourne à plein régime.
 Il faut absolument que le directeur de la communication capémiste se recycle, et retombe sur terre. Ses articles frisent le ridicule.
Il ne peut pas affirmer des contre-vérités en permanence, à des émerainvillois qui  constatent tous les jours la réalité.  Cela devient maladif.
3-Démission de Mme Désir, de M. Mercier, condamnation de M. Le Meur, refus de siéger de M. David Fabre que nous attendons avec impatience lorsqu’il sera guéri et qu’il voudra bien nous donner son adresse véritable (ces personnes représentent 4 élus sur les 6 soit 66 % des élus LR socialo).
Voilà la vraie valeur de Cap’em, une équipe qui perd, perd, perd,  se divise, explose et qui ne représente plus rien sur la commune.
Quel intérêt aurait Émerainville au cœur à tenter de récupérer contre sa volonté ou par des manœuvres alambiquées un élu Cap émiste. Nous sommes 21, ils sont 5 ou 6 ?
Nous n’avons pas besoin des verts, et des LR-socialos pour gérer la commune mais nous pensons que si l’un de nos opposants désire travailler avec nous, il serait stupide de refuser sa proposition de collaboration et ce dans l’intérêt de la ville.
Comme pour M. Huleux qui nous a demandé une mission sur des sujets précis, puis s’est dédit, nous accueillons tous ceux qui le désirent et qui le méritent d’après nous.
A ma connaissance, la personne concernée a répondu au post mais bizarrement sa réponse a été effacée.
PS : Conseil à Cap’em, lorsque vous pensez, à tort ou à raison, qu’un de vos élus manque d’oxygène dans votre groupe, restez le plus discret possible, ne faites pas de publicité car vous allez vous nuire considérablement.

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