Il ne se passe pas une journée, sans que les médias ne dénoncent des violences faites aux femmes. Les personnes visées sont des politiciens ou des vedettes médiatiques.
Ces délits doivent être sanctionnés avec la plus grande fermeté, mais en respectant cependant nos lois.
La prescription des faits est ignorée, la présomption d’innocence n’existe plus, une mise en examen signifie une culpabilité certaine et des sanctions sont prises avant même le jugement.
La pression médiatique fait la loi et est considérablement favorisée par la lenteur de nos tribunaux.