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Réfléchissons un peu

Réfléchissons un peu, c’est  la demande de Cap’em, dans l’espace qui lui est réservé, dans la tribune politique du Lien.
Nous adhérons complétement à cette demande que le groupe Cap’em se fait à lui-même.
Par contre, réfléchir sur un problème est évidemment nécessaire mais réfléchir sans le connaître relève de la métaphysique, matière qui n’est pas enseignée en maternel sup et est  donc inconnue de Cap’em.
Cap’em se doit de « plancher »  sur le néant absolu ou peut être sur le sexe des anges mais pas sur la gestion municipale.

Ainsi, l’article sur le Lien 147, article un peu niais, comporte des erreurs dues bien évidemment à l’ignorance de  notre opposition LR-PS-ANIMALISTE.

  1. Les élus Cap’em n’ont vu aucune décoration sur notre ville, alors qu’elles sont toutes en place comme l’année dernière mais non illuminées. Il ne suffit pas de se rendre en mairie 1 fois par mois les jours de conseils ou de commissions, mais il convient  de sortir un peu pour connaître la citée  que l’on représente.
  2. Sans illumination les frais de fonctionnement diminuent d’une centaine de milliers d’euros ce qui en période de crise monétaire n’est pas négligeable.
  3. Tout notre système d’éclairage est constitué de LED depuis longtemps.
  4. Les critiques sur la rémunération du personnel ainsi que sur  l’importance des prestataires prouvent à l’évidence une méconnaissance du budget de la commune, alors que cette opposition est venue auditer les comptes sur 2 ans. (en à peine 2 h ce qui démontre  leur grande compétence).
    Les salaires relèvent de la grille et ne sont pas décidés par le conseil municipal, quant aux prestataires, le plus important est la société ELIOR  qui nourrit nos enfants. La mairie n’a pas les moyens de créer à elle seule une cantine.
    Évidemment nous attendons des conseils en gestion, conseils par écrits que nous ferons connaître aux Émerainvillois.
  5. Pour les procès, depuis 2020, la mairie a dû subir et donc financer 2 procès intentés par le groupe Quinion. Tous ces procès ont été gagnés.
    – Un pour l’annulation des élections de 2020 : elles n’ont pas été annulées.
    – Un pour une plainte pénale l’équipe gagnante étant accusée d’avoir profité des moyens de la commune pendant la campagne : aucune sanction pénale. Pourtant à lire l’opposition, elle a tout gagné.
  6. Les frais de conseils  de la commune  s’élèvent à …67 000 €. Ils se décomposent comme suit :
    22 000 € en conseil,
    35 000 € pour la défense de la ville dans les procès intentés par Cap’em.
  7. Cap’em n’a pas que des problèmes juridiques avec la mairie  : un procès a été diligenté par l’État contre M. Le Meur, procès que cet élu a perdu en première instance et gagné en appel. Les pouvoirs publics n’ont pas  porté l’affaire devant le conseil d’État.
  8. Devant les dénigrements permanents de Cap’em, le maire a demandé la protection juridique de la mairie et une plainte en diffamation a été déposée. M. Quinion  a été condamné pour diffamation. Il fait appel.
  9. Nos lecteurs peuvent constater que nous répondons à toutes les accusations de Cap’em mais que  ce groupe ne se souvient pas de nos écrits.

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