Du bla bla bla de politiciens
Nos opposants commencent par des phrases creuses, toutes faites, style, « verts d’Emerainville. »
Ils veulent :
A- « Combattre une gestion autocratique, irrationnelle et éloignée des
besoins et préoccupations de la majeure partie de nos concitoyens. »
Cette gestion dénoncée et vilipendées a été approuvée par nos délateurs qui y ont participé
Perte de mémoire ?
Pendant 12 ans ils ont eu peur de quoi pour se taire face à ce régime dictatorial imposé à la commune ?
Peur du goulag ?
B- « Consacrer son énergie et son temps à répondre aux attentes et à bâtir un avenir plus serein. »
Donc pendant 12 ans les membres de cette liste n’ont rien fait pour la
commune et ont gardé leurs idées lumineuses pour le futur. C’est un aveu
scandaleux qui prouve qu’ils gardaient tous les bienfaits de leur génie
pour eux-mêmes en attendant leur heure, sans se soucier des habitants.
REPROCHES ÉCOLOGIQUES :
a-Voitures électriques remplacées par des véhicules à essence : nos
véhicules électriques ne possèdent pas assez d’autonomie, (120 kms,
MEAUX-EMERAINVILLE allée et retour au maximum) et nous avons dû les
remplacer (27 000 € le coût d’une voiture électrique, 9 400 € la voiture
à essence achetée). Financièrement il n’y a pas photo.
b- Les plantations de bambous :
Ces arbres ne sont pas grands consommateurs d’eau contrairement à ce que le tract affirme
Nos dissidents doivent revoir leurs connaissances en matière d’arbres
c- Le tri sélectif ????
Nous nous interrogeons sur la nature du reproche
d- Irrégularités aux incidences écologiques de la construction du château de Malnoue.
Il s’agit sans doute d’un bassin de rétention d’eau mal placé.
M. Quinion était maire adjoint à l’urbanisme et aurait dû s’apercevoir
du problème avant que, bassin creusé, il soit impossible à résoudre.
Son attitude négative a gelé le dossier, ses rapports avec le
constructeur étaient catastrophiques, il n’a jamais, pour on ne sait
quelle raison, tenté de trouver des solutions si bien que le maire a été
obligé de reprendre la main sur cette affaire.
En tout état de cause la loi sur l’eau est respectée et nous nous acheminons vers une compensation en terrain ou en argent.
La mairie a cependant ordonné l’arrêt des travaux jusqu’à régularisation administrative du dossier.
e- L’association RENARD travaille dans la réserve naturelle et n’a pas
disparu. Elle n’a jamais été contactée par l’élu à l’urbanisme, mais
peut-être ne connait-il pas la réserve et le potager.
f- La qualité
de notre Environnement que la dissidence considère comme provenant
uniquement de toutes les collectivités locales excepté de la mairie.
Il faut une mauvaise foi à toute épreuve, un désir de nuisance
considérable, une méconnaissance totale du problème examiné pour
affirmer cette sottise dans une ville bordée par la Francilienne et par
la A4.