Comment peut-on dans un régime démocratique haïr, (jusqu’à souhaiter leur mort) nos policiers, nos gendarmes, nos militaires ? Ces fonctionnaires ne proviennent pas des classes favorisées, ils votent, ils paient leurs impôts et exercent un métier difficile, dangereux, mal rémunéré et surtout, nécessaire pour notre société.
La gauche politicienne et médiatique, n’a jamais fait de la sécurité un de ses thèmes fondamentaux, et elle a cherché par innocence, par angélisme, à protéger par tous les moyens à sa disposition le délinquant aux dépens naturellement des victimes.
Tout était de la faute à la société.
Elle n’a jamais été favorable à la police municipale, aux caméras de sécurité, même si devant la dure réalité, la plupart des villes de gauche installe aujourd’hui tous ces dispositifs (mais surtout pour améliorer leur trésorerie par des contraventions, la chasse aux délinquants étant encore à ce jour secondaire.
Dans la même veine, la sécurité des policiers municipaux était pour elle secondaire d’où l’armement refusé pendant très longtemps, de même que les gilets par balles.
Et cela continue car nos médias en font des tas et des tas à chaque bavure policière et encensent la malheureuse victime (qui très souvent est un délinquant au casier judiciaire bien rempli) et passent rapidement sur l’assassinat d’un policier dont c’est sans doute pour ces penseurs scribouillards, le travail de se faire tuer, sans remerciement de la collectivité et avec l’opprobre des biens pensants.
Inimaginable !