Après deux défaites successives, aux élections municipales, on pouvait raisonnablement penser que les membres du groupe CAP’EM allaient admettre la sentence des urnes et se préparer à six ans d’opposition, que nous espérions, sans y croire, réellement, constructives.
Mais, il n’en est rien et la déception, la colère, (sans doute de ne pas avoir été compris, ou trop bien compris), le coup de frein à la carrière politique de leur tête de liste, les poussent vers de nouvelles actions.
Après avoir perdu sur le terrain, ces irréductibles, placent le combat, sur le tapis vert.
Un recours, demandant l’annulation des élections, a été déposé.
Il ne comporte pas moins de 26 points, dont aucun ne justifie une annulation du scrutin. Les arguments utilisés permettent d’assimiler, l’équipe CAP’EM à un service de contre-espionnage et non à une liste politique à la conquête d’une municipalité.
A- D’abord des photos :
-une photo d’un membre du personnel municipal distribuant le Lien (parution municipale), a été pris pour bêtement justifier, que le personnel municipal était à la disposition d’Émerainville au cœur ;
-une photo, d’une affiche de la liste de M. Huleux, apposée sur son garage, a été prises et une plainte pénale déposée ;
-une photo d’une voiture à Vaires qui serait selon CAP’EM un véhicule municipal ;
-des photos d’une réunion publique avec collation, s’il vous plait, qui aurait été toujours selon nos contre espions organisée à la gloire d’Emerainville au cœur (il s’agit en fait de la réunion pour le château de Malnoue du 24 octobre 2019 et en présence de M. QUINION).
B- Des dénonciations comme celles expédiées, tout affaire cessante au commissariat de Noisiel pour les squelettes découverts dans le cimetière.
C- Des reproches sur la tenue des bureaux de vote (absence du président pour aller assouvir un besoin naturel, accueil des électeurs pour leur indiquer le parcours à accomplir pour se rendre dans l’isoloir, etc., etc.).
Bref, ces barbouzes, mentent, travestissent la réalité, espionnent, dénoncent, contestent, mais ne proposent rien et se terrent dans leur domicile en cas de danger pour leur petite santé (voir leur attitude pendant la pandémie).