Dans « Eh tu sais que tu viens du Bredou quand tu manges une tranche de Cantal », célèbre Facebook connu pour le courage, notamment de son directeur de publication, certains émerainvillois  continuent de poser des questions sur notre ville sans savoir qu’il est plus aisé d’obtenir un renseignement sur Émerainville en écrivant sur un site de la ville, en téléphonant aux services municipaux concernés ou encore en utilisant l’application mobile d’Émerainville mise à leur disposition.
Évidemment les questions posées sont des critiques voilées et n’ont pas, comme l’affirment leurs auteurs, pour but de faire avancer les choses.
– Le cimetière n’a plus d’eau potable (pourquoi potable ?). Le cimetière serait-il devenu un centre de dégustation pour les visiteurs voire pour les occupants ? Et dans ce cas, j’en connais beaucoup qui préfèreraient le whisky.
– Les lampadaires sont restés allumés tel jour devant Guy Drut (photo à l’appui).
– Pour notre cimetière, l’eau est toujours coupée en hiver afin d’éviter que le gel fasse éclater les canalisations.
– Pour la lumière, il s’agissait d’une vérification de l’ensemble de l’éclairage sur Émerainville.
Je me demande très sérieusement si ces questions, auxquelles il pourrait être répondu lors d’un simple appel téléphonique, méritent une publication dans un réseau social quelconque.
Je me demande si à travers ce biais ne se cacheraient pas : 

• Une volonté politique de harcèlement
• Un besoin de délation qui rappelle les heures sombres de notre histoire…

A quand le jour où dans les mêmes réseaux sociaux, monsieur ou madame X proposeront leurs services pour aider la mairie, pour faire du bénévolat, pour travailler avec nous sans faire de publicité, sans récompense, sauf le sentiment d’avoir servi la collectivité.