Un conseil municipal en dessous de tout.

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Un conseil municipal en dessous de tout.

Un ordre du jour peu attractif mais nécessaire et deux oppositions égales à elles-mêmes.
Le débat qu’il conviendrait plutôt d’appeler l’affrontement eu lieu sur trois résolutions concernant « la culture », résolutions qui avaient été examinées lors d’une commission culture en date du 26 avril 2023.
À cette commission aucun élu Vert était présent, et l’opposition capémiste ne prononça pas une parole (elle se réserve toujours pour le conseil municipal et nous nous demandons si dans son  cas, les commissions ont des raisons d’être. Évidemment si elles n’existaient pas Cap’em vociférerait au nom de la démocratie).

A – Nouvelles tarifications des pratiques musicales pour adultes (45 personnes concernées,  45 000 € de déficit).

Cap’em avec sa sagacité habituelle déclara notamment que la mairie voulait supprimer les cours pour adultes et qu’il aurait été plus honnête de le dire plutôt que d’augmenter les tarifs pour arriver au même résultat.
Toujours cette exigence d’honnêteté (intellectuelle) dans ce groupe, honnêteté que nous ne retrouvons pas dans leurs parutions.
Monsieur le maire indiqua que désormais la majorité souhaitait donner la parole lors des conseils municipaux et en interrompant la séance, aux chefs de service qui accepteraient et qui naturellement seraient concernés par une délibération inscrite  à l’ordre du jour.
Il donna la parole à M. Antrop le directeur de l’Espace Saint- Exupéry  qui apporta toutes les précisions utiles.
M. Quinion avec le tact qui le caractérise s’étonna qu’un chef de service dise « je pense » et il se demanda ce que les élus eux pensaient. La majorité permet au personnel municipal de penser et travaille avec eux dans les directions qu’elle fixe (elle  propose, puis elle débat avec les chefs de service (les sachants) puis elle décide l’exécution. M. Quinion ne semble pas connaître ce mode de fonctionnement, même si s’apercevant de sa bévue, il écrit tout le contraire 2 h plus tard  sur son blog.
Par la suite, Zeus  emporté sûrement par la fougue de sa jeunesse, par sa volonté de pouvoir et par sa haine de l’équipe municipale traîta le maire de « CON » insulte enregistrée et que tout à chacun peut entendre sur l’enregistrement visuel et sonore, du conseil figurant sur le site internet de la mairie (10mn 30 à 10mn40).
Quand je déclare que Cap’em est la Nupes d’Émerainville (niveau Rachel Kéké Raïssa) je ne me trompe pas. Je sais que Zeus méprise les majoritaires mais j’estime qu’insulter un élu dans l’exercice de sa fonction est inadmissible. M.  Quinion peut penser ce qu’il veut d’Alain Kelyor mais il se doit de respecter le Maire d’Émerainville quand celui-ci exerce son mandat que démocratiquement les électeurs  lui ont confié.
L’attitude  de ce leader, investit par LR aux dernières municipales est incompréhensible car il refuse de discuter avec le Maire, dont il ne reconnait pas la légitimité, désire rencontrer les chefs de service en direct et à sa convenance,  affirme au conseil municipal qu’ils ne doivent pas penser et se contredit en permanence.
À mon avis le service communication de Cap’em doit comprendre de très nombreux membres qui ne doivent pas se rencontrer souvent.
Allez un peu de rigueur au moins dans la communication pour ne pas paraître trop ridicule.

 B – Tarification d’une nouvelle activité loisirs créatifs : on ne sait par quel miracle mais cette résolution fut adoptée à l’unanimité. Les élus Cap’em devait somnoler.

Tarification de la location de l’Espace Guy-Drut : l’opposition viscérale des Verts et de Cap’em à l’agrandissement de l’espace (hors sujet dans le cas d’espèce)  fut de nouveau remise sur le tapis (alors que l’opération est terminée depuis des mois et que seuls deux élus adorateurs de Zeux (étrangement muets sur le problème) sont venus sur place.
Les Verts selon leurs bonnes vieilles habitudes reprochèrent aux majoritaires de ne pas avoir, avant d’agrandir fait une analyse mathématique des besoins de la commune. M. Huleux (en vrai politicien a le chic pour tout refuser en inventant tous les prétextes possibles. Pour Guy-DRUT, il aurait voulu des diagnostics, des statistiques, des études de marché, des graphiques…
En conclusion, toutes les résolutions furent adoptées à l’unanimité à l’exception de deux d’entre-elles, refusées uniquement par Cap’em (tarifs pratiques musicales et tarif location Guy-Drut).
Une autre figure important de Cap’em, M. Courtois a, en l’espace de 3 ans, prononcé deux discours au conseil municipal (il n’a rien fait d’autre).
Dans le premier, il traitait le Maire d’être « VIL » et générateur de haine. Dans le second il l’accuse de ne rien faire chez CAPVM et de toucher une indemnité considérable. Certains élus ont même vue dans sa diatribe une menace.
Ce Monsieur qui ne connait rien à rien, connait il le nombre de réunions qui se déroulent à l’intercommunalité en visioconférence ou en présentielle ? Combien de réunions ai-je manqué. Quelles sont ses sources pour une telle accusation ? Ce monsieur qui  invente des mensonges à répétition (murs des pavillons bordant Guy-Drut qui se lézardent, perte de son ordinateur dans l’affaire Pylos… ) n’est pas crédible, mais m’inquiète car ce monsieur est le chef de la police municipale (donc assermenté) de Lagny, qu’il fut le chef de la police municipale d’Émerainville, qu’il fut l’un des principaux intervenants dans l’affaire Pylos (avec M. Quinion maire adjoint à l’urbanisme à l’époque), qu’il n’a aucun centre d’intérêt sur Émerainville et qu’a part ses deux discours scandaleux pour un homme de loi, ses actions pour la commune ont été inexistantes.
Enfin, comment ce monsieur qui ne connait rien à rien, à connaissance  du nombre de réunions qui se déroulent à l’intercommunalité ? Quelles sont ses sources pour une telle accusation ?    

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