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Un peu d’histoire politique locale

Plus d’élu Verts, plus d’élu capémiste sur Émerainville, plus de critique, de revendication, de contrôle inopiné, nos oppositions n’ont toujours pas compris qu’une ville se gère 12 mois par an et qu’il convient d’être représenté à tout moment toute l’année.  Pourtant avec tous les retraités qu’elles possèdent,1 sur 2 pour les Verts, 3 sur 6 pour Cap’em, la répartition des tâches,  pendant les vacances ne devrait pas être insurmontable.
Par contre, deux mois  de tranquillité nous font un bien considérable et nous permettent de remonter le temps pour nous apercevoir que rien ne change dans les attitudes de nos différentes oppositions de gauche hier, de gauche, de droite et de droite-extrême, aujourd’hui.
Pendant la campagne 2008 la désinformation portait sur :

Des affirmations qui n’étaient que d’affreux mensonges :

– rien  n’était fait pour les jeunes, les seniors, les sportifs, l’environnement. M. Quinion a repris ce refrain.
– La commune présentait dans les médias et les établissements étatiques ou paraétatiques un aspect uniquement négatif. M. Quinion le criait avant que je sois réélu comme vice-président de CAPVM.
– Notre maire n’était pas gentil avec ses partenaires, criait trop fort, osait tout revendiquer pour sa ville et ne se contentait jamais  de ce qu’on lui donnait.
Nous en sommes au même point et les reproches  de Cap’em manquent d’imagination et sont les copies des tracs des socialo-communistes des années 1995.

Des informations stupides mais qui font peur.

– Le Hameau allait sentir la crevette suite à l’arrivée d’une entreprise de stockage de surgelés.  On en rit encore.
– Le préfet allait installer sur notre territoire une aire de grand rassemblement des gens du voyage.
– Le SAN, sous l’action de la gauche émerainvilloise,  allait créer une piscine sur la plaine de Gibraltar.
– Le conseil général réfléchissait à la construction, toujours sur la même plaine, d’une caserne de pompiers  (tract ULEM Janvier 2008).
Actuellement, M. HULEUX craint pour nos finances et explique que le terrain Pylos va coûter une fortune à la commune. Nous reviendront un peu plus tard sur l’attitude innommable des Verts dans cette affaire.

Des promesses fallacieuses et ignobles.

-La gauche émerainvilloise avait des logements pour les familles du Clos qui devaient décohabiter (ces logements ont disparu après les  élections) (ULEM août 2007).

Des  non-dits.

– Officiellement nos adversaires étaient « pour » une police municipale à Émerainville, mais en réalité ils refusaient toutes les mesures permettant de la mettre en place allant jusqu’à déclarer que son installation encouragerait la police nationale à se désengager de notre commune (ULEM 2007).
M. HULEUX est toujours dans la même hypocrisie et Cap’em qui n’ose pas s’opposer critique la manière de servir de la PM.
– Les Verts et les roses d’Émerainville  étaient  « pour » un environnement de qualité  mais refusaient :

– les silencieux pour les avions  (Conseil municipal du  27 novembre 2000),
– L’achat par la commune du terrain composant la réserve naturelle (Conseil municipal du 29 décembre 1999).
– L’agenda 21 (Conseil municipal du 26 février2001).
– Le classement de la plaine nord en zone agricole protégée (Conseil municipal du 24 février 2003).
– Et pour finir ils n’ont pas soutenu la mairie contre  l’élargissement de la Francilienne, comme ils n’ont rien fait lors de sa construction  laquelle était prévue beaucoup plus loin de notre ville. Aujourd’hui, ils pleurent sans rien faire d’autre d’ailleurs.
Heureusement nous n’avons tenu aucun compte de leurs avis et à part l’élargissement de la Francilienne nous avons réussi à réaliser nos objectifs.  Par contre, nous avons dû combattre un membre de Cap’em qui après avoir noyauté une nouvelle association de défense qui pensait ingénument qu’avant elle, rien n’avait été fait, voulait exclure les communes intéressées des accords sur le bruit des avions, accords qui ont été passés récemment  et qui semblent donner des résultats  intéressants.
Voici des faits.

Nos opposants  sont des mauvais joueurs et des mauvais perdants.
En 1995, ils perdent les élections.  En 2001 ils « jettent » comme un malpropre leur ancienne tête de liste (Yvon MAGAGNOSC, Maire sortant) et appellent une diva parachutée par le parti (Jean-Francis DAURIAC).
Ils sont certains de la victoire et reperdent encore.
En 2008, ils se trouvent deux leaders qui se battent l’un contre l’autre comme des chiffonniers avant de faire cause commune (Jean-Francois DAURIAC et Jacques HULEUX). Ils rereperdent, mais tentent de gagner sur le tapis vert et demandent en justice l’annulation des élections et ils rerereperdent.   
Mais la vie étant un éternel recommencement, un scénario identique nous fut présenté en 2014.
Tout y était.

– Une nouvelle diva est venue du 94, le p’tit Jérôme-Gaétan (arrivé sur la commune en décembre 2013).
– Une lutte à mort entre Verts et roses.
Après la victoire de 2014, celle de  2020, nous a obligés  à faire face à un problème que nous ne connaissions pas : la trahison de 4 membres de notre liste menée par un adjoint au maire qui a voulu prendre la place du calife pour des raisons de sur-moi.
Battus, ils ont tenté comme la gauche, de gagner sur le tapis vert, mais comme pour la gauche se fut un échec. Mieux  car plus pugnaces,  Ils ont d’abord demandé l’annulation des élections pour des causes diverses et variées, puis débouté, ils ont demandé au pénal la mise en prison de l’équipe municipal qui aurait utilisé les moyens de la mairie lors de la campagne. Nouvel échec.
Les amis d’hier sont beaucoup plus virulents que les ennemis de toujours.
Nous avons désormais, deux  oppositions dont l’une ne fait rien pour la commune et l’autre totalement désunie, joue les mouches du coche, et tente de mettre en permanence la majorité et les salariés communaux en difficulté sans s’occuper des intérêts de la commune.
Heureusement, le maire qui serait un dictateur n’a pas besoin de goulag à Émerainville, car après chaque échec, les pseudos oppositions de droite comme de gauche, retournent à leurs tâches ménagères, se cachent  dans leur maison en attendant six ans pour pouvoir de nouveau se présenter au suffrage populaire, avec comme seul titre de gloire l’absence totale d’action et de proposition.
Ne rien faire est un avantage énorme, mais il convient de ne pas trop en profiter.

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