Je les prends ou je ne les prends pas ?
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Utilité d’un état

N’étant pas dans le secret des dieux, je m’étonne en permanence sur l’efficacité de notre pays et de l’Europe sur un certain nombre de problèmes qui font régulièrement  la « une » de nos médias.

  1. Les roms
    Ces  pauvres gens venant d’anciens pays gérés autrefois par la gauche  communistes (donc encore à ce jour sous-développés) arrivent sans connaître la langue du pays destinataire, sans aucune moyen de subsistance, sans travail sans logement. Ils ont, par ailleurs, payé très cher leur voyage à une mafia qui tente de les installer dans des entreprises ou des habitations inoccupées en leur fournissant des planches, des cuisinières, des frigos, des appareils de chauffage…. au grand dam des municipalités qui demandent  aux forces de police le respect de la loi et l’expulsion des intrus.
    On connaît la suite : délai très long pour l’expulsion, 8 à 10 mois minimum,  intervention d’une association Théodule payée par le contribuable,  pour demander humblement le départ des intrus et aucune indemnité pour les propriétaires dont les locaux ont été saccagés.
    Qu’elle  est l’action de l’État voire son utilité ?
    Quel résultat obtenu contre les passeurs, contre  les mafias qui organisent ce trafic d’être humain ?
    Il ne suffit pas de demander aux humbles le respect de la loi, si rien n’est fait contre les véritables responsables de cette traite humaine.
    Rien,  nothing,  nada, nichts
    À quoi sert un État qui ne protège pas sa population ?
  2. La drogue
    Ce problème devient dramatique, dans notre pays et un quartier d’Émerainville est consacré à ce commerce.
    Cet espace de non droit recueille toutes les voitures volées dans les environs, tous les délinquants s’y refugient et disparaissent, preuve que les habitants sont aveugles ou complices.
    Les interventions de la police nationale et municipale sont fréquentes mais insuffisantes et après leur passage tout se remet en place  comme si de rien n’était.
    Les sentinelles arrêtées sont remplacées du jour au lendemain, tandis que d’autres bandits s’amusent à tirer sur les policiers avec des mortiers d’artifices et maintenant avec des grenades à mitrailles, en attendant les fusils à pompe.
    Faudra-t-il attendre un mort pour que notre administration prenne conscience de la dangerosité de la situation ?
    Faudra-t-il qu’un ministre devant les médias vienne faire un discours larmoyant ?
    Que fait-on contre les organisateurs du trafic ?
    Rien, Ikke noget, nic, niets.
    À quoi sert un État qui ne protège pas sa population ?
  3. Les migrants d’Afrique 
    Ces pauvres malheureux dépensent des fortunes pour rejoindre ce qu’ils pensent être un eldorado et se retrouvent au mieux à Paris, dans des bidonvilles immondes et indignes d’un pays comme la France. Nos hommes politiques de gauche, veulent recueillir  sur notre territoire toute la misère du monde en sachant très bien que nous n’avons pas les moyens financiers et matériels de le faire.
    Ce raisonnement est irresponsable, criminel et condamnable, comme l’est, du reste, le travail des ONG qui sous prétexte de charité, de protection de la vie humaine vont rechercher les candidats à l’émigration partis sur des embarcations de fortune et  les amènent sur les côtes de l’Europe au lieu de les ramener à leur lieu de départ. Je me demande qui subventionne ces associations en très grand nombre par ailleurs ?
    Quand nos gouvernements s’attaqueront ils à ces ONG de gauche, qui font le jeu des mafias ?
    Quand les États européens décideront ils de préserver leur population ? 
    Quand nos dirigeants intoxiqués par la gauche et l’extrême-gauche, cesseront ils  de punir leurs populations coupables, selon la gauche, d’avoir inventé le libéralisme puis l’esclavagisme, puis le colonialisme ?
    Cette gauche veut la mort de l’Europe et encourage le fameux grand remplacement.
    Dans l’ensemble des trois problèmes examinés ci-dessus, notre État s’attaque aux lampistes mais pas aux responsables.

À quoi sert un État qui ne protège pas sa population ?

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