Cap’em a, sans doute, de très graves problèmes en son sein.
Un de leur membre a démissionné, (Mme Désir), sous un faux prétexte qu’elle n’a pas développé en conseil municipal, sa voix depuis une année ne nous étant pas encore connue.
M. Mercier, un socialiste bon teint, septième sur la liste, devait prendre la place de la démissionnaire au conseil municipal mais lui aussi, sous prétexte de déménagement, ne veut plus de son mandat et cocufie une fois de plus ses électeurs.
Le conseil municipal va donc accueillir Mme Stocker, la propriétaire des locaux dans lesquels vit M. Courtois. Deux démissions sur six élus en un an.
Cap’em tient la corde et nous pensons que Mme Quinion, quatorzième sur la liste, a une chance de siéger au conseil municipal avant la fin du mandat.
Les membres de notre équipe, selon nos opposants, devaient mourir de vieillesse et disparaître de la mairie mais il semble que cela soit l’inverse et que sans mourir les élus de Cap’em disparaissent un par un.
Mais, comme l’intérêt communal est le dernier de leurs soucis…
Évidemment, à l’instar de M. Le Meur qui n’a pas, durant son mandat avec Émerainville au cœur, développé ses idées lumineuses sur le sport et qui refuse de les communiquer maintenant puisqu’il a perdu les élections (bonjour l’amour de sa ville) nous espérons que Mme Stocker fera part de ses idées géniales pour la petite enfance car il faut bien constater que depuis un an le groupe Cap’em détient le record absolu de l’inexistence totale comme force de proposition.
Depuis 1995 aucune opposition n’a atteint ce degré d’inactivité au service de la commune.
Pour Cap’em seul compte le désir de détruire ce qui existe.