Depuis plus d’un an toutes les chaines de radio, toutes les chaines de télévision, ne parlent que du COVID.
Chaque ministre, chaque politicien, chaque philosophe, chaque grand ponte de médecine, chaque président d’association Théodule ou Théophraste, nous font un petit discours pour nous exprimer, leur malaise, leur crainte de l’évolution de la maladie, le nombre de malades par jour, le nombre d’hospitalisation par demi-journée et de morts tous les quarts d’heures.
Chaque statisticien nous trace inlassablement des courbes avec des formules algébriques du niveau math sup…
Çà lasse et donc il a fallu trouver autre chose pour continuer à tromper le peuple, car tout est de sa faute. Il n’obéit pas aux injonctions, il sort sans masque, il veut s’amuser et vivre…
La responsabilité de nos dirigeants ne peut pas être engagée, eux qui ont tout prévu.
La trouvaille fut la vaccination. Doit-on se faire vacciner ou non ? Nous touchons alors au nirvana de la philosophie car nous devons aborder le concept de liberté.
Où commence la liberté individuelle où finit-elle ?
Telle est la question.
Lorsque nous n’avions pas de masques à disposition, il nous a été affirmé qu’ils ne servaient à rien mais ils devinrent fondamentaux et obligatoires lorsqu’ils se trouvèrent facilement achetables chez l’épicier du coin.
Où était la vérité ? Le ministre qui s’est trompé a-t-il été sanctionné ?
Les tests subirent le même sort. Inutiles d’abord car nous n’en avions pas et nous devons maintenant nous tester aux frais des contribuables au moins 4 à 5 fois par jour (gaspillage de l’argent public et donc de nos impôts).
Actuellement notre premier ministre nous explique qu’une troisième dose sera nécessaire, sans doute parce que les 2 premières ne suffisent pas ou qu’il faut absolument écouler les stocks.
Pourtant nous devions être protégés à 98 %.
Alors vrai ou faux ?
La troisième dose nous protégera à 130 % en attendant la quatrième qui nous protègera celle-là à 180 % en attendant la cinquième etc.
Devant cette psychose généralisée et cette peur invraisemblable de la population française (merci les médias), j’aimerais connaître les chiffres exacts pour la France des morts provoqués par le virus et les comparer aux décès dus au cancer ou à des problèmes cardiaques.
Nous aurions alors des points de comparaisons sérieux pour juger de la gravité de ce virus, qu’il convient naturellement de combattre mais de ne pas surestimer.
PS : félicitation à la recherche française qui avec un budget digne d’un pays sous développé (pas même en voie de développement) a réussi à trouver un vaccin avec deux ans de retard.