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Le monde change

Le monde change, les problèmes que l’humanité a affrontés au XIVème siècle, ne sont pas les mêmes que ceux qui existent au XXIème et l’homo sapiens doit s’adapter afin de survivre comme il l’a toujours fait.
La nouvelle religion verte prêche la fin du monde, (inexorable mais dans quelques milliards d’années), et demande à ses adeptes de faire pénitence en se privant de nourriture, de boissons, d’hygiène, de transport…
Les avancées scientifiques, les progrès techniques lui paraissent inutiles voire dangereux et sont limités par le principe de sécurité qui bloque de nombreuses recherches pourtant fondamentales.
Après les expériences ratées des utopistes socialistes, des communistes de toutes obédiences voici venu le temps du bon sauvage si cher à Rousseau.
Le peuple du nouveau clergé recherche des réponses aux problèmes qu’il rencontre dans la vie courante.
Ainsi, il ne faut pas adorer l’atome, mais son remplacement pour la production d’électricité n’est pas connu ou pas techniquement au point avec les énergies renouvelables.
Notre  gouvernement qui avait cru lui aussi  à la nouvelle religion, demande sans honte au bon peuple, non pas de lui pardonner ses mauvais choix,  mais  de payer l’addition de ses erreurs et de se serrer une nouvelle fois la ceinture, de payer son électricité plus cher et d’en limiter la consommation.
Cette affaire d’abandon des centrales nucléaires  est incompréhensible. Sachant que la consommation d’électricité ne peut qu’augmenter dans le temps et que les énergies nouvelles ne sont pas constantes et ne  représentent qu’une partie infime de la production, qui a pu décider la destruction de nos centrales ?
Ce nouveau serrage de ceinture a pris le joli nom de « sobriété » et nous retrouvons l’habileté de la gauche dans le domaine de la dialectique.
Il fut un temps où elle remplaça pour cacher ses erreurs de gestions, le terme austérité (de  droite) par la rigueur (de gauche). Le portemonnaie du contribuable ne vit pas la différence.       

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