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L’esprit CAP’EM

Ce petit groupe d’élus, qui passe son temps à chercher une aiguille  dans une meule de foin ou un motif si petit soit-il pour faire un procès, (qu’il perd régulièrement d’ailleurs) sévit à tous les niveaux dans notre commune. Porteur d’opinions négatives sur toutes les réalisations municipales, il cherche à semer le trouble dans notre ville et à phagocyter les associations. Après un essai infructueux sur le club de foot à qui,  il promit la lune, après un échec cuisant  au niveau culturel en refusant l’agrandissement de GUY-DRUT (qui est un succès complet), une famille devenue CAPÉMISTE, a,  après avoir refusé d’appliquer la loi  et les textes  municipaux, dans la section badminton du MES, section dont elle détenait, la présidence, le secrétariat et les finances, obligé le président de l’association de mettre fin à l’activité et à rembourser les adhérents.
Évidemment les intérêts des membres de la section, du club, voire de la commune, ne furent pas pris en compte. À la suite de ces actes irresponsables, les trois sections restantes  du MES  (karaté, tennis ballon, voitures radiocommandées) ont décidé de prendre leur indépendance et de créer chacun sa propre association en considérant que de nos jours un club multi-sports était beaucoup trop compliqué à gérer. L’affaire aurait dû se terminer là, mais l’ADN CAPÉMISTE prit le dessus et les démissionnaires qui ne faisaient plus parti du MES, qui avaient « tué » leur section, voulurent cependant une partie du « boni de liquidation » pour des raisons inconnues et injustifiables, le tout en menaçant le président de la nomination d’un médiateur puis des pires procès (vieux réflexes pavloviens encore de CAP’EM).
L’assembles générale de l’association réunie le jeudi 12 mai 2022  a approuvé les comptes de 2021, puis dans la foulée une autre assemblée cette fois-ci extraordinaire a décidé la dissolution de l’association et la nomination d’une liquidateur qui devra répartir le boni de liquidation entre le trois nouvelles associations tout en leur transférant le matériel nécessaire pour leur nouvelle activité.
Toutes ces décisions furent prises à l’unanimité  des 56 à 60 personnes présentes moins une voix celle d’une capémiste figurant sur la liste de l’homme à l’arc-en-ciel.

NB : la section badminton a été, dès sa dissolution, reprise par la mairie dans le cadre de ses activités sportives. Elle se porte à merveille, récupère progressivement les licenciés partis dans les villes voisines, utilise les locaux municipaux, le tout avec un animateur certifié et enfin en toute légalité. J’ai été un des trois fondateurs du MES.  J’ai joué dans son équipe de hand  pendant des années, (senior, puis vétéran), j’ai passé mon diplôme d’arbitre devenu nécessaire pour le club et j’avoue qu’aujourd’hui le voir détruit pour des raisons inexplicables (peut être sans doute même politiques) me dégoutte profondément. Ce fut un club de joyeux drilles où la troisième mi-temps comptait autant que les deux mi-temps qui la précédaient.

C’est une époque qui se termine.

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